1ère partie: La rencontre hasardeuse d'Oga et Raio ! Une amitié naît !

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Cela faisait 20 jours que je n’étais pas allé sur la terre ferme. Arriver sur une île me rendait tellement heureux que je pouvais l’exprimer. Le fait de rester autant de temps en mer, tout seul en plus, me donnait des sentiments assez bizarres, au bout d’un moment j’ai même eu envie de tout abandonner. Heureusement, j’étais arrivé au bon moment. Le paysage n’était pas exceptionnel en soit, mais le fait d’enfin arriver sur une île me l’a fait voir d’une autre façon. Je n’avais pas débarqué dans un port mais à la plage de Fushia, une longue plage de sable avec quelques grands rochers, ce qu’il la rendait sublime.

Après avoir attaché ma barque à un de ces rochers, je pris la direction de la foret, puis de la ville. La forêt n’était pas très grande, les arbres assez petits. Les champignons faisaient guise d’herbe ici. Comme la nuit était arrivée très vite, je décide de monter un camp afin d’y dormir pendant la nuit, je sais qu’en me rendant en ville, je ne serai pas le bienvenu. Tandis que je montais ma tente, je vis un cerf un petit peu plus loin. C’était le moment idéal pour aller chasser, avant qu’il ne fasse tout noir. Je pris mon katana puis m’approcha tout doucement, il m’avait malheureusement vu et s’était éloigné d’une dizaine de mètres. Concluant que je n’avais aucune chance en m’approchant de lui, je décidai d’essayer une autre méthode. Je pris un peu d’élan puis lançai le katana en direction du cerf. Il arriva dans le cou, puis l’animal tomba, mort. Je pris le soin d’enlever sa fourrure, puis les boyaux et enfin je le mis à cuire dans un feu que j’avais fabriqué un moment auparavant. Quand soudain j’entendis des bruits de pas, je me retournai puis vit un homme. Ne sachant ni s'il était un ennemi, ni s'il était un allié, je lui parlai.

« Qui est-tu ? Que veux-tu ? »

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Enfin arriver au Mt Corbo, j'ai dû en baver pour qu'on arrive ici saint et sauf et ce flemmard de lionceau qui ne veut pas marcher je suis obligé de le porter sur mon dos, ce n'est pas parce qu'il a pris une balle et frôler la mort que je vais devenir son esclave, On s'est fait attaquer par des fourmis géante et lui il miaulait comme un chat au lion de rugir comme le fessait Shiki son père un lion brave et courageux, il a bien fait de me le donner, je vais le former pour qu'il ressemble à son père même plus fort que son père.
Le temps était beau c'était presque le soir, je ne trouvais pas ce maudit Salvatore mais, je ne désespérais pas, car j'avais du temps au pire si d'ici une heure je ne le trouve pas j'irais chez les bandits des montagnes demander mon chemin s'ils veulent la bagarre ils l'auront a deux... Je veux dire à un et demi on les battra enfin j'espère mais c'est à ce moment qu'une odeur de viande me titilla les narine et ça m'a rappelé que j'avais l'estomac dans les talons mais, j'étais le seul le flemmard que je portais sur mon s'était réveillé et m'a dit qu'il avait faim mais, je ne pouvais pas chasser mon bras gauche n'étais pas encore guérie et l'aggrave retardera alors mon aventure serait retardée alors j'ai décidé d'aller manger avec celui qui fessait danser mes narines je suivais l'odeur avec fougue et Jo était plus rapide que moi, pour bouffer il est premier alors j'ai aperçu du feu je m'approchais vers lui et d'un ton que je trouvai assez agressive il me dit :

« Qui est tu ? Que veux-tu ? »

Il était sur ses gardes pas vraiment étonnant vu qu'on est dans une forêt mais, la viande me fessait plus envie un bon cerf il n'allait pas tout finir tout seul alors là je lui ai dit :

« Moi c’est Raio, lui le lionceau c’est Jo on a la dalle on peut se joindre à toi pour le dîner ? »

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Juste avant de poser sa question, Oga avec prit le soin de prendre son katana. La personne qui s’approchait pouvait être un membre du GM, il devait donc rester sur ses gardes. Je regardais tout autour de moi puis vit un homme s’approcher.

« Qui est-tu ? Que veux-tu ? »

Ma voix faisait peur à entendre, et je m’en voulais moi-même d’avoir parlé sur ce ton. Avec toutes les épreuves que j’ai enduré dans ma vie, la moindre petite chose me mettait sur mes gardes. Cela faisait des années que j’étais tout seul, et cela faisait des années aussi que personne ne m’avait parlé. Cependant, au fond de moi, un espoir renaissait. Je ne saurai expliquer ce qu’est cet espoir, peut-être l’espoir de ne plus être seul, momentanément au moins. Un homme s’approcha tandis que je me levais, brandissant mon katana en signe de défense. Mais, à coté de l’homme se trouvait un lionceau, assez blessé il faut le dire, mais qui était très mignon.

« Moi c’est Raio, lui le lionceau c’est Jo on a la dalle on peut se joindre à toi pour le dîner ? »

Suite à cette question, je me demandai ce qui était passé par la tête de cet homme « Raio ». Il fallait le dire, son lionceau me donnait plus qu’envie d’accepter. Je voulais m’amuser un peu avec lui, mais aussi bavarder avec quelqu’un ; Raio pourrait être ce quelqu’un. Mais je ne pouvais pas me laisser influencer aussi facilement, cette personne pourrait être un ennemi, et je devrai l’abattre lui et son animal de compagnie, à contrecœur cependant. Il fallait cependant faire un choix, soit accepter sagement, soit lui soutirer quelques informations supplémentaires, plus que son nom et celui du lionceau.
Je choisis la deuxième solution.

« Salut Raio, puis-je en savoir plus sur toi avant de me rejoindre. Es-tu un ennemi ou bien es-tu dans la même situation que moi, abandonné ? Je suis Oga Saruwatari, un pirate !»

Suite à cette question, je sentis qu’il n’était pas si facile que ça de répondre. Mais il fallait bien que j’en sache plus sur lui. Je me rassis à ma place près du feu puis je pris un morceau de viande et le lançai au lionceau tout en attendant la réponse de Raio.

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Être sur ces gardes, oui mais, pas à ce point ce gars était trop stressé le pauvre, devant une aussi bonne viande tu peux que faire la fête mais, il était seul donc difficile de faire la fête et son comportement me rappelait comment j'étais avant de rencontrer Kudo, agressive, toujours sur mes gardes me méfiant de tout, tout à coup il brandit son katana sur moi, j'étais pas terrifié, non, normalement je lui aurais fait avaler sont katana mais, Jo me disait « ne fait pas ça, surtout pas » de toute façon j'avais trop faim pour me battre je le regardais dans s'est yeux je voyais de la détermination avec de l'hésitation il allait me trancher sans hésiter mais, à contre-coeur ça se voyait seulement avec ses yeux, puis tout à coup il me dit :

« Salut Raio, puis-je en savoir plus sur toi avant de me rejoindre. Es-tu un ennemi ou bien es-tu dans la même situation que moi, abandonné ? Je suis Oga Saruwatari, un pirate !»

Un pirate donc un écumeur des mers comme moi, malgré son katana brandi sur moi je commençais à l'apprécier il avait la classe avec son katana mais, je voulais vraiment le cogner pour lui apprendre le respect même s'il paraissait plus vieux que moi, avec ses cicatrices je me demandais si notre enfance était assez similaire si c'est le cas l'agresser ne fera que confirmer l'idée qu'il se fait des personnes tout le monde ne lui veut pas du mal beaucoup oui mais, moi j'en fais pas partie, alors j'ai sorti mes deux guns je les ai jetés au sol et lui ai répondu en un sourire :

« Sholololololo ! Enchanté Oga Saru... Saru quelque chose, je ne suis pas un ennemi sinon tu serais déjà mort avec ton katana dans la bouche, je suis pirates moi aussi l'odeur de la bonne viande m'a attiré ici et j'ai vraiment la dalle »

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Malgré le fait que mon katana soit dressé devant lui, j’avais l’impression qu’il savait que je n’allais rien lui faire. Pour cause, il sortit 2 pistolets et les jeta à terre, surement en signe d’amitié. C’était la première fois dans ma misérable vie que quelqu’un voulait rester avec moi, et non pas me tuer. Raio avait-il compris ce que j’étais réellement ? Avait-il fait ça car lui aussi est dans la même situation que moi ? Je baissais mon katana, moi aussi en signe d’amitié, même si je ne comprenais pas pourquoi je faisais ça.
C’est à ce moment-là qu’il me répondit.

« Sholololololo ! Enchanté Oga Saru... Saru quelque chose, je ne suis pas un ennemi sinon tu serais déjà mort avec ton katana dans la bouche, je suis pirate moi aussi l'odeur de la bonne viande m'a attiré ici et j'ai vraiment la dalle »

Haha ! J’avais donc raison, ce mec était vraiment sympa. Qu’était-ce cette manière de me saluer « Sholololo » ? Et comme je m’y attendais, il ne savait pas dire correctement mon nom de famille, ce n’était pas la première fois que ça m’arrivait. Mais ça n’était pas du tout un problème, au contraire, je trouvais ça plus marrant.
Cette homme avait l’air un peu plus jeune que moi, mais plus grand en taille il fallait le préciser. Et il est un pirate ! Tout comme moi, même si je n’ai rien fait jusque-là. Il était temps pour moi de partir à l’aventure, et cet homme, Raio, pourrait m’aider.
Je pris fermement mon katana puis coupai un morceau de viande de cerf que je lançai encore une fois vers le lionceau.

« Je t’en pris, joins-toi à moi. Qu’est-ce qui t’ammène ici Raio ? »

Je me sentais enfin libéré après avoir sorti ces derniers mots. J’avais enfin réussi à sortir de ma bulle, et ça devait continuer ainsi. Je me rassis près du feu tout en sachant que je ne craignais rien en compagnie de cet homme. J’attendais sa réponse avec impatience.

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J'ai adoré sa réaction quand je lui ai dit je suis pirate, ses yeux ont commencé à briller comme si c'était un cadeau que je sois pirate je l'aimais de plus en plus il commençait à me faire confiance il donne vraiment sa confiance à des inconnus comme ça, seulement parce que je ne lui veux pas de mal, il doit être une personne avec un grand cœur moi qui n'a jamais accordé ma confiance à qui que ce soit à part deux trois personnes mais, moi aussi je voulais lui accorder ma confiance, surtout devant une viande aussi savoureuse qui fessait danser mes narines, après ma réponse il commençais à sourire, baissait son katana et il donne encore de la viande à Jo et il s'assoit avec classe et me dit :

« Je t’en prie, joins-toi à moi. Qu’est-ce qui t’amène ici Raio ? »

Il avait l'air d'une personne qui vient de prendre la mer, surement un débutant comme moi, alors j'ai pris un gros morceau de cerf et je l'ai avalé cul sec, ensuite je me suis assis à coter de lui et lui ai répondu :

« Il y a trois semaines je débarque sur l'ile, Jo se fait tirer dessus par un pirate, Un ex marine a sauvé mon lionceau et j'ai mangé un fruit du démon le fruit des balles je dois retrouver un Salvatore pour qu'il me crée des guns spéciales et m'entraîner à maitriser se pouvoir voilà c'est tout et toi tu fais quoi ici tout seul la nuit et si tu n'as rien à faire demain viens avec moi ça me ferais un partenaire de combat. Et surtout faut attraper un autre cerf ou autres choses j'ai encore faim et pour digérer un petit combat ça te dit il faut que Jo commence à s'entrainer aussi blesser ou pas, alors ça te dit ? »

Je lui disais tout cela avec mon sourire légendaire, reprenais une jambe de cerf et la partageais avec Jo d'ailleurs qui me regardaient fixement avec ses yeux et me disais « il est sympa le vieux ! »
Et j'ai commencé à éclater de rire tout seul j'avais oublié que j'étais une personne pouvant parler avec les lions.

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C’était un des meilleurs moments de ma vie, enfin quelqu’un qui avait l’air de m’apprécier. Cela se confirma avec l’explication qui suivit.

« Il y a trois semaines je débarque sur l'ile, Jo se fait tirer dessus par un pirate, Un ex marine a sauvé mon lionceau et j'ai mangé un fruit du démon le fruit des balles je dois retrouver un Salvatore pour qu'il me crée des guns spéciales et m'entraîner à maitriser se pouvoir voilà c'est tout et toi tu fais quoi ici tout seul la nuit et si tu n'as rien à faire demain viens avec moi ça me ferais un partenaire de combat. Et surtout faut attraper un autre cerf ou autres choses j'ai encore faim et pour digérer un petit combat ça te dit il faut que Jo commence à s'entrainer aussi blesser ou pas, alors ça te dit ? »

Cet homme était donc bel et bien un pirate, ces premières aventures avaient l’air superbes, même si son lionceau avait malheureusement été blessé. En plus, il possède un fruit du démon, celui des balles. Ceci m’a fait longuement réfléchir. Si je trouvais un fruit du démon, le mangerai-je ou bien je le laisserai où il était ? Je tiens énormément à mon katana, le fait de m’en séparer et de me servir de pouvoirs surnaturels me faisait mal au cœur. Le katana que je porte à la ceinture et le seul « ami » que je possède depuis que j’ai quitté mon île natale. C’est lui qui me protège, c’est grâce à lui que mon moral de flanche pas, c’est grâce à lui que je suis vivant : je lui dois tout même si ce n’est pas un katana légendaire ou quoique ce soit d’autre.
Je revins à la réalité quelques secondes plus tard. Il me propose de s’entrainer ensemble et de combattre. Cependant, une idée me vint à la tête, je devais voir ce qu’était réellement son fruit.

« Tu vois le cerf derrière l’arbre ? Tue-le en utilisant ton fruit du démon. Je voudrais voir ce dont tu es capable grâce à ça. »

Je restai impassible même si au fond de moi j’étais impatient de voir ce dont était capable un utilisateur de fruit du démon.

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Oga semblait heureux même s'il le cachait derrière un masque fermé. Les petites rides du coin de sa bouche le trahissait et ses yeux qui brillaient disait la même chose, il avait toujours la main sur son katana, pas en signe de défense ou qu'il était méfiant non, il adorait son katana comme j'adorais mes guns d'ailleurs qui sont toujours au sol. La nuit était belle, les étoiles brillaient c'est une des raisons qui avaient renforcé mon désir de partir en mers dormir à la belle étoile, je me posais la question combien il y en a là-haut, cent, cent mille, cents million, cents milliard ? Je continuerais si je savais ce qu'il y avait après cents milliard. J'étais assis la dans mes rêves attendant sa réponse pour un combat de digestion quand il se mit à me dire :

« Tu vois le cerf derrière l’arbre ? Tue-le en utilisant ton fruit du démon. Je voudrais voir ce dont tu es capable grâce à ça. »

C'était impossible, car les balles avec mes guns ne marchait pas et il faut du temps pour faire sortir les balles le cerf aurait déjà fuis mais, on trouvera un autre, pour l'instant je dois lui montrer comment marche mes pouvoir. Le feu qui brillait les os du reste du cerf étais le choix parfait pour lui montrer mais, je me posais des questions est-ce que j'allais me bruler, ou alors me calciner. J'ai ramassé une branche puis je l'ai mis dans le feu, Oga me regardait fixement comme si un miracle allé surgir de nulle part, la branche avait pris feu une belle flamme s'en échappais pour l'instant oui ça me chauffait le bras maintenant fallait le manger. Je mettais le bâton dans ma bouche et effectivement ça me brulait mais, pas comme je l'imaginais ça me chauffait sans me bruler puis je m'assois en silence et Oga me regardait et je lui répondais :

« Faut attendre cinq minutes pour que les balles sorte mais, je ne pourrais pas tirer, car j'ai besoin des guns spéciales c'est pour ça que je vais chez Salvatore pour qu'il me crée mais, je peux te montrer mes talents de tireur mon bras gauche n'est pas encore guérie mais, je vais te montrer avec un gun ! »

Je ramassai un gun et regarda autour de moi le cerf avait fui quand tout à coup j'ai entendu des bruits de pas et, Jo qui m'avertissait qu'il y avait une biche à ma droite, je tournai ma tête à droite, il y avait une forme dans le noir, ses yeux brillaient à cause de la lune, d'un réflexe j'ai tiré, la balle était arrivée en pleine tête la biche n'avait pas souffert, tant mieux je retournai vers Oga et lui disant :

« Shololololo ! On a à manger, ça te va comme ça ? »

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Le cerf dont je parlais était caché derrière un grand qui était d’ailleurs déraciné. Le tuer sans le surprendre serait assez compliqué, mais je croyais en Raio.
Cependant, j’avais l’impression qu’il hésitait, ne sachant quoi faire. Ses guns étaient encore par terre et il ne faisait rien. Quand soudain, il prit une branche et la brula grâce au feu de camp. Une fois cette branche en feu, il semblait enfin confiant, la preuve : il la mangea ! Comment faisait-il cela ? Un utilisateur d’un fruit du démon était-il capable de résister au feu, à la glace ? Il m’étonnerai que tous soient capable de faire ça, mais ça m’impressionnait quand même énormément. Mais quelque chose me perturbait, il n’avait pas l’air de prendre ça à la légère, le feu lui faisait donc des dégâts. Il transpirait légèrement et ses jambes tremblaient un peu. Mais quelques secondes plus tard, il me regardait avec assurance.

« Faut attendre cinq minutes pour que les balles sorte mais, je ne pourrais pas tirer, car j'ai besoin des guns spéciales c'est pour ça que je vais chez Salvatore pour qu'il me crée mais, je peux te montrer mes talents de tireur mon bras gauche n'est pas encore guérie mais, je vais te montrer avec un gun ! »

Je ne pourrais pas voir aujourd’hui ce dont était capable un utilisateur de fruit du démon, mais j’avais quand même un avant-gout assez impressionnant. Il prit un pistolet qui était restait par terre pendant tout ce temps puis attendit. Cependant, quelque chose me tracassait, j’entendais un bruit derrière moi depuis quelques secondes. Raio avait lui aussi remarqué et a tiré sans hésiter. Pourquoi avait-il tiré ? Si ça se trouve, c’était une personne innocente. En me retournant, je vis avec satisfaction que ce qu’avait tué Raio était juste un biche. La balle était arrivé en plein dans la tête de l’animal, impressionnant !

« Shololololo ! On a à manger, ça te va comme ça ? »

En effet, ça m’allait complètement. Après ce petit spectacle, j’allai chercher la biche puis la mis à cuire à la place du cerf dont il ne restait plus rien. Pendant le temps que la nourriture cuisait, j’allait cherche des grandes feuilles de palmier à la plage afin de dormir confortablement, j’en avais aussi ramené pour Raio et même pour Jo.
Après avoir mangé jusqu’à ne plus pouvoir rien faire, j’enlevais le katana de ma ceinture, le plaça juste à côté de l’endroit où je dormai, puis je m’allongeai tout en me remémorant les moments magnifiques de cette journée.
Qu’allait-il se passer demain ? Allai-je passer une journée aussi belle que celle-là ? Je l’espère.

[1ère partie terminée. La suite sur la même île]