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Le livre du passé

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Le livre du passé Vide
MessageSujet: Le livre du passé Le livre du passé Icon_minitime1Dim 16 Déc - 19:50




L'île de Tonkai



    Île de Tonkaï, le port.

    « Bon ... Ils foutent quoi ? »


    Il était dix heures. J'avais rendez vous très exactement ici dans quinze minutes avec un groupe d'intervention très restreint. Pourquoi très restreint ? Et bien après mon aventure sur l'île d'Eliastre, j'avais découvert le fait que sur une petite île de South Blue se trouvait le repaire de la vieille Gebba que je connaissais peu. Cette île était en fait une île connue pour son haut taux de criminalité: l'île de Tonkaï. En partant du principe que le lieu de la mission serait ... Inhospitalier, l'état major de la marine avait décidé de créer une toute petite équipe de quatre membre. Nous aurions pour mission de chercher le coffre sur l'île sans trop nous faire remarquer. Par chance, l'île était recouverte en grande partie par une plaine désertique ce qui restreindrait les recherches et permettrait également au groupe de pouvoir se déployer pour couvrir une large zone de recherche.

    Deux femmes et un homme. Tels allaient être mes alliés. Je ne savais rien d'eux. Je ne savais pas s'il s'agissait de formidables combattants ou bien de simples marines venant d'entrer en fonction ... Je n'en avais aucune idée et cela me gênait un peu. En fait, je ne savais qu'une chose: l'un ou l'une d'entre eux aurait des capacités ... hors du commun ! Etant détenteur d'un pouvoir du démon de type Logia, je me demandais ce que pouvais vouloir dire l'ordre de mission par là. Serait ce une personne bien plus forte que moi ? Une personne ayant un pouvoir la démarquant encore plus de la masse qu'un logia ? Mon esprit vagabonda pendant quelques secondes sur les nombreuses possibles ... Je me dis alors que, quitte à attendre, autant faire attention à mon environnement.

    Le ciel était bleu et la mer très claire. En regardant bien, le port était un peu délabré: certaines maisons le bordant étaient de vielles bicoques et les quelques magasins semblaient ne proposer que de la marchandise de mauvaise qualité. C'était un peu miteux comme endroit ... Il n'y avait qu'un endroit, visible depuis mon petit banc, qui semblait hors du commun: un genre de manoir en haut d'une colline. Il semblait dominer l'île mais je n'aurais su dire sur combien de distance elle s'étendait donc ... Mon point de vue à ce moment là n'était pas très objectif. Les gens passant devant moi semblaient vouloir percer le mystère de ma capuche.

    Ah mais c'est vrai que je ne vous ai pas dis. Je me suis vêtu comme à mon habitude d'une tenue assez légère pour venir sur l'île mais j'y ai rajouté une grande cape grise. Pourquoi ? Il y avait deux raisons. La première était que je désirais ne pas être remarqué. La seconde concernait le soleil tapant ici: ma peau risquerait rapidement de se transformer en cendre si je ne la couvrais pas. Enfin cela s'appliquerait à une personne normale. Mon pouvoir était censé me dispensé de cela mais autant le cacher un maximum de temps. J'avais d'ailleurs reçu une paire de gants en acier de la part d'un soit disant ami proche, et ceux par courrier longue distance. C'était étrange car je ne connaissais pas beaucoup de monde. Les gants, en aciers trempés et de couleur rouge se nommait d'après la lettre les accompagnant "Smockin' Gloves". Le nom était sympathique mais il n'y avait aucun lien avec un quelconque pouvoir lattant. Ils étaient simplement fait pour le combat.

    Je crois que je me suis endormis car, à mon réveil, l'horloge d'un bâtiment indiquait dix heures vingt cinq. En regardant à droit à gauche je vis un groupe de trois individus. Ils se tenaient près d'un banc non loin de moi. Je me levais alors, persuadé qu'il s'agissait de mes futurs camarades. En arrivant devant eux j'émis un long baillement me décrochant la mâchoire et j'enlevais ma capuche pour les regarder. Il y avait un jeune rouquin visiblement inexpérimenté d'un point de vue des combats. Bizarrement, il était le plus normal car les deux jeunes femmes ... L'une était un genre de démone. Aux allures mignonettes, elle avait des cheveux et des yeux parfaitement rouges ainsi qu'une queue. J'aurais dû être impressionné uniquement par elle mais ... Le quatrième élément était hors du commun ! Une magnifique jeune femme aux cheveux ébènes et aux yeux de la même couleur. Elle dégageait une force tranquille et semblait sûre d'elle. Ses yeux avaient un éclat qui devait avoir traversé maintes batailles. Je les interrompis dans leur discussion en disant:

    « Bonjour à vous trois. Je suis Kailach, celui qui a fait le rapport ayant mené à notre mission. C'est également moi qui vais ... "Mener" les opérations. Sachez que je compte tirer profit de notre nombre restreint pour cette mission. Que diriez vous d'aller dans ce bar pour discuter un peu de comment nous allons procéder ? »


    J'indiquais alors à mes interlocuteurs une petite échoppe non loin de là, et avant même qu'ils n'aient le temps de répliquer, je me mis en marche. En entrant de le bar, je m'assis à une table avec les trois autres marines et je commandais à boire pour tout le monde avant de dire:

    « Alors ... Vous êtes qui ? »


    [...]


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Ellana Shiwara
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Ellana Shiwara
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MessageSujet: Re: Le livre du passé Le livre du passé Icon_minitime1Sam 22 Déc - 11:39

Douleur. Lorsque j'ouvris les yeux, ce fut pour ne voir que du blanc. La tête me tournait et mes sens endormies filaient au rythme des battements de mon cœur. Je n'entendis pas, je ne sentis pas, mais une personne en blanc s'occupait de moi. Je m'étais redressée d'un coup sur le matelas qui me servait de couchage, un reflex que je n'aurais du établir, il fut l'effet d'un coup de marteau martelant mon crane. Ma tête était en feu et sans que je ne pusse me débattre, je sentis les limbes des profondeurs obscures m'enlever à nouveau d'une étreinte mortelle. J'avais appris plus tard que, suite à mes blessures j'avais perdue beaucoup de sang et l'on m'avait dopée aux médicaments pour faire taire la douleur en même temps que pour soigner mon corps. Ce fut de longues heures plus tard que je sentis à nouveau mon esprit revenir à la surface des eaux glacées de l'inconscience. Je n'ouvris pas les yeux tout de suite. Je me sentais encore dans un état second, mes membres me semblaient lourd et mes sens se jouaient de l'habitude, en effet, les sons me parvenaient déformés, comme s'ils traversaient une bulle d'eau avant de me parvenir. Il me fallut dix minutes pour réussir à forcer mes paupières de me laisser apercevoir le monde extérieur. Cette fois ci, ma chambre était vide. Je me trouvais dans un hôpital que je ne connaissais pas. Je n'avais jamais aimé les hôpital, celui ci ne faisait pas exception. Vide, blanc, propre, sentant de multiples produits, trop, il était trop "hôpital" pour que je m'y sente bien. Ma tête se tourna du côté droit, mes yeux encore vitreux virent mes affaires adossées à une chaise. Elles avaient été lavées, mes armes remisent à neuve, j'étais une combattante... J'avais faillis à ma mission. Je ne me souvenais plus de comment elle s'était finie. Je me souviens avoir vu mes camarades à terre, notre ennemis s'avançant sur nous, moi, épuisée, vaincue... j'avais échouée à sauver mes amis. C'était ma première défaite aussi saisissante, et là, dans mon lit, défaite devant mes armes, l'envie d'abandonner se glissa en moi. Tel un poison, cette vérité s'installa en moi, qu'est ce que je foutais la? Cela faisait si longtemps que je n'avais été fière de moi, cela me ressemblait si peu...

Il me fallut plusieurs semaines pour pouvoir enfin sortir de l’hôpital. Je n'avais eu aucune nouvelle de Noah et Ganesha, je supposai qu'ils avaient été eux aussi sauvés par le miracle nommé Ao Tatsu, dont j'avais découvert peu de temps après ma réanimation, le rôle qu'il avait joué dans mon sauvetage. Je devais réussir à tirer un trait sur cette affaire, je possédai tellement de rancœur en moi que je me sentais proche de l'explosion. Je ne me retrouvai plus dans cette coquille vide qui se ressassais sans cesse son passé... Nous n'aurions jamais réussit cette mission, quand bien même j'aurais agis différemment. J'étais nulle. La première fois que mes docteurs me laissèrent prendre l'air, je sortis marcher sur l'île, elle était petite et le village ne contenait que peu d'habitants. Je ne connaissais pas l'île et n'avais même pas pris la peine de demander ou je me trouvais. Me laissant porter par la brise fraiche du petit jour, mes pas me menèrent au plus haut point de de l'île, non loin du village. Je m'assis à la lisière d'un bosquet, au pied d'un grand chêne, l'herbe fraiche enfouie son humidité dans mes habits mais je le sentais à peine. Je fermai les yeux, visage tourné vers le ciel.

Je dus m'endormir, quand je me réveillai, trois enfants étaient penchés sur moi, leurs grands yeux rivés sur moi semblaient plein de curiosité. Ils se chuchotaient des paroles dont je ne compris que peu de sens, cela devait faire quelques minutes qu'ils étaient là car quand j'ouvris les yeux, ils eurent un petit mouvement de recul. Puis, un grand sourire apparut sur le visage et ils se mirent à parler en même temps de leur voix aiguë:

"Salut! Elle est belle... Vous venez d’où? Comment vous vous appelez? Pourquoi vous portez un poignard? Je peux le toucher? Je peux le voir? Moi c'est Tiky! Ma maman elle dit que seule les aventuriers ont de tels habits, moi elle m'a dit que c'était de mauvaises personnes! Dites? Vous êtes une aventurière?"


L'enfant nommé Tiky, et son camarade roux avaient tout deux parler rapidement, se coupant la parole et posaient des questions sans queue ni tête. Le troisième enfant, une petite fille aux cheveux aussi blonds que le blés, m'observait de ses grands yeux bleus. J’essayais tant bien que mal de satisfaire leur curiosité, parlant de moi, du monde que j'avais vu... J'étais un peu déboussolé et ne savais pas vraiment par ou commencer.

"Je... Moi c'est Ellana, bonjour Tiky, et...?"

Je m'étais adressé au roux qui ne m'avait pas encore dit son nom, se fut Tiky qui répondit pour lui, en présentant aussi la fille.

"Lui c'est Amal, c'est mon meilleur pote et même que son grand père il est artiste! Elle s'est Leïla, ma petite sœur! Elle est belle hein?! Dis dis dis!!!! Mon papa c'est un grand héros! et même qu'il a déjà enfermé plein de méchant! Tu le connais?"

Un sourire chaud apparut sur mon visage, ces enfants semblaient tellement innocents, c'était pour eux que je me battais n'est ce pas? Pour leur bonheur...

" Ce doit être un grand homme! Tu sais Tiky, au delà de l’horizon que tu vois il y a de nombreux hommes qui, comme ton père se battent pour leur famille, je pense que c'est la chose la plus belle qui leur ait offerte, avoir des enfants qui les idoles. Tu veux être comme lui plus tard?"

"Oui! même que je protégerai Leïla toute ma vie! Dis Madame, je peux toucher ton poignard?"

La mort, elle était partout... Pourquoi ce poignard? Pourquoi avait-il lâché la main de sa sœur pour prendre mon arme? Il n'était qu'un enfant, mais déjà je voyais dans son ombre la trace d'un soldat, Fuyant sa question, je souris a Leïla en lui demandant ce qu'elle voulait faire plus tard. Elle me fixa de ses grand yeux bleu et, alors que ses joues prenaient une jolie teinte rouge, elle se cacha derrière son frère. Tiky s'écarta gentiment en la faisant passer devant. Elle lui glissa des mots à l'oreille que je n'entendis pas et lui éclata d'un jolie éclat de rire.

Elle dit que tu l'intimides, tu accepterais de lui raconter une histoire? Elle adore les histoires d'aventure!

Je devinai sans mal que Tiky lui aussi adorait les histoires. Les trois enfants s'assirent autour de moi et, avec tous les talents de conteuse que je possédai, je leur racontai vivement les aventures de Pinocchio au pays des moulins à vents. Une histoire montée de toute pièce dans laquelle je mêlais humour et héroïsme. Cela sembla leur plaire et, alors que la matinée se finissait, ils me prirent par la main pour m'emmener avec eux déjeuner chez les parents de Tiky et Leïla.

"Je vais rencontrer votre père?"

En un quart de seconde, le visage souriant de Tiky se rembrunit. Je n'avais pas abordé le bon sujet... Il me répondit que son père, en tant que héros était beaucoup demandé et qu'ils ne le voyaient vraiment pas souvent. J’abandonnai de ce sujet pour les questionner sur leur quotidien, et nous arrivâmes bientôt à leur maison. Celle-ci, entourée de fleur semblait bien tenue et, alors que nous entrâmes tous quatre, une magnifique femme fit son apparition. Encore jeune, il devait s'agir de la mère de Tiky. De la même blondeur que sa fille, ses yeux étaient cependant bien plus foncées, elle rayonnait de vie et m’accueillit chaudement. Nous déjeunâmes en grande conversation et, alors que les enfants sortirent pour s'amuser, j’aidais Ana, leur mère. Elle me parla de leur père. Il revenait le lendemain, et, elle leur faisait la surprise. Alors quelle disait cela, ses yeux se mirent à briller et sa main se posa machinalement sur son ventre. Cela faisait deux mois qu'ils ne s'étaient pas vu, et elle avait une heureuse nouvelle à lui annoncer, je le devinai sans peine. Nous passâmes une bonne partie de l'après midi ensemble. Nous nous étions rapidement bien entendu et, bien que plus âgée que moi, nous nous sentions bien ensemble, comme de vieilles amies. Elle me proposa de passer la nuit chez elle, proposition que ses enfants prirent à cœur en me suppliant d'accepter. ravie d'échapper à ma chambre d’hôpital que je commençai à prendre en horreur, j'acceptai.

Je passai une merveilleuse journée, Leïla ne me lâchait plus et bien que peu bavarde, elle ne cessait de vouloir faire des choses avec moi. Je n'avais jamais eu de frère et sœur et je me dis que ce devait ressembler à ça une petite soeur... En fin d'après midi, un bateau arriva dans le port. Selon ce que m'avait dit Ana, leur île était placée non loin d'une base de la marine et de nombreuse famille de marine vivait ici, dont elle. Alors que le bateau débarquait, les enfants surexcités m'entrainèrent en courant au port. Bien qu'ils ne le sachent pas, ils espéraient du fond du coeur que leur père fasse partie des matelots. Ils ne furent pas déçu. Cris, larmes de joies, rires... Je n'avais jamais connu ça. Une famille... Mélancolique, des souvenirs jaillirent au fond de moi. Je n'avais jamais ressenti ce que enfants ou femme ressentaient. Et pourtant, je ne le regrettais pas vraiment.

On me présenta au père. Ce dernier était bien bâti et dégageait une force certaine. La soirée se passa à merveille, je me sentis cependant quelque peu de trop après le repas, je sortis donc prendre l'air et les laisser se retrouver. Le ciel était dégageait, les premières étoiles apparaissaient et bizarrement, il ne faisait pas aussi froid que la veille. Je revins à l'endroit ou j'avais rencontré les enfants. M'appuyant contre le même arbre, je laissait mon regard s'enfouir dans l’océan. Pensive, je restais un bon moment à observer les vagues qui brillaient sous la lune. Lorsque je ne sentis plus mes fesses transit par le froid, je me levai et redescendit lentement vers la maison. La chambre dans laquelle je logeais était apparenté à celle du couple par une porte et, lorsque j'entrai sans bruit dans mon lit, j'entendis Ana et son mari parler. Elle pleurait... La voix chaude de son ami lui annonçait qu'il repartait en mission le lendemain... Une mission pour laquelle il ne pouvait se défiler. Un nombre restreint de personne avait été mandaté et il en faisait parti. Il parla vaguement de la trame de son projet. Je me souvint alors que quelques jours après mon réveil, un bleu du gouvernement m'avait donné des nouvelles de ce qu'il se passait. Et il m'avait parlé d'une mission qui allait se dérouler sur South Blue, il semblait vouloir que je la rejoigne, comme si cela allait me faire du bien car elle ne semblait pas difficile et peut être ma réussite pourrait apaiser mon récent échec. Lorsqu'ils se turent enfin, j'avais pris ma décision. j'allai accomplir sa mission à sa place. Je ne voulais pas voir Tiky courant derriere son père qui partait, Leïla les larmes aux yeux et Ana accoucher seule de l'enfant qu'elle portait... J'allai prendre sa place en tant qu'agent du gouvernement.

Le lendemain, je réussis à parler seul à seul avec Karl, le mari d'Ana. Il devait être haut placé dans la marine car il connaissait l’existence du Cp9 et accueillit la révélation de mon statut avec stupeur. Il avait entendu parler de moi... Via la mission que j'avais effectué dernièrement. Il commença par refuser ma proposition, mais je trouvai les bons arguments et c'est avec un grand serieux et une grande joie qu'il craqua. Il voulait rester quelques temps avec sa famille. Et moi, j'avais trouvé une façon détournée de me remettre d'aplomb. Ana pleura et me serra affectueusement dans ses bras pour mon départ. Je lui souhaitais tout le bonheur du monde et je sentis un pincement au cœur lorsque d'un signe de la main, je dis adieu à la famille, les enfants me firent de grand signe en me priant de revenir. Je ne retournai pas à l'hopital. Mon docteur m'aurait surement interdit d'effectuer ma mission. je n'était pas parfaitement rétablie mais je pouvais me battre et le voyage allait laisser du temps à mes blessures de finir leur cicatrisation.

~bien plus tard~

J'arrivai enfin sur l'île de la mission. Le voyage avait était long et vraiment embêtant. Mais j'étais maintenant en parfaite santé et j'avais presque retrouvé mon moral. Je n'avais qu'une envie, rencontrer mes coéquipiers et commencer la mission. L'état major avait était prévenue de ma participation à la mission et l'avait même encouragé. Je me rendis au lieu du rendez vous. Deux personnes arrivèrent en même temps que moi. L'un, un jeune rouquin charmant et grand attendait. L'autre, je ne pris pas le temps de l'observer. Nous avions été synchronisés car à peine arrivai-je qu'un homme encapuchonné s'avança vers nous.

« Bonjour à vous trois. Je suis Kailach, celui qui a fait le rapport ayant mené à notre mission. C'est également moi qui vais ... "Mener" les opérations. Sachez que je compte tirer profit de notre nombre restreint pour cette mission. Que diriez vous d'aller dans ce bar pour discuter un peu de comment nous allons procéder ? »

Ainsi, il s'agissait de notre chef. Il semblait aimable et même, plutôt sympathique. Il eut la bonne idée de nous inviter à boire un coup et de faire plus ample connaissance. Je lui suivis d'une démarche enjouée et, m'assis la première à la table. Après qu'il eut commandé, il nous questionna sur nos identités. Je répondis la première en prenant une voix chaude et attirante, je pris même un petit accent craquant. Cela faisait longtemps que je n'avais pas joué un peu avec mes atouts.

" Enchanté grand chef. Mon petit nom est Ellana, mais appelez moi Lana. J’espère que vous prendrez soin de nous ♥~"

J'avais appuyé mon discours d'un clin d'oeil appuyé et, sans pour autant continuer mon discours, je leur offris un charmant sourire.


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