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[FB] Retour au Bercail [Izayoi]

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MessageSujet: [FB] Retour au Bercail [Izayoi] [FB] Retour au Bercail [Izayoi] Icon_minitime1Jeu 14 Fév - 11:31


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Ce RP se déroule il y a huit ans, déjà nommé Shichibukaï, c'était mon premier retour au bercail ! À l'époque, j'avais 150 PF.


« TERRE EN VUE ! WE'RE COMING HOME ! »

Je devais avouer, pour la plupart de mes gars, c'était pas vraiment leur terre d'accueil. J'étais la capitaine, le boss, le mécréant, le méchant, le chef cuisinier et à la fois le chef d'équipe des larbins, donc, en ma faculté de grand patron incontestable et incontesté, tout ce qui me plaisait leur plaisait. C'était bien connu, un capitaine devait se faire respecter de ses hommes, être dur avec eux, avoir une autorité sans failles tout en étant un brave type de temps en temps afin d'éviter les mutineries. De ce côté là, j'étais plutôt partageur sur la boisson, ce qui me valait d'être bien vu. J'avais donc pas de souci puisque Gab', mec de confiance et mon plus ancien compagnon, ne m'aurait jamais trahi et m'aurait informé sans perdre une seconde si problème il y avait.
Même si tous les types se foutaient royalement de savoir d'où je venais, ils étaient quand même contents. Peu importe l'île sur laquelle on s'arrêtait, c'était toujours pour refaire le plein de provisions : c'est-à-dire alcool et bouffe, leurs deux crédeaux, leurs deux raisons de vivre. En bon capitaine, j'avais sorti les billets, assez pour leur permettre de s'offrir de quoi se faire plaisir pendant deux semaines, y compris les femmes. J'étais pas radin sur ces choses-là et je me devais d'entretenir les hommes qui m'avaient accompagné durant toutes mes batailles, que ce soit dans la plus belle victoire que dans la défaite la plus cuisante. J'étais un type comme ça, bien gentil, même s'il fallait pas vraiment me faire chier.

Je profitais de la visite des hommes en ville pour aller faire un tour de mon côté. Ça faisait des mois, voire des années, que j'avais pas vu ou parlé à ma famille. J'avais été pas mal pris ces derniers temps et j'avais beaucoup de mal à communiquer. Il était clair que si ma vieille mer me voyait, la première chose qu'elle aurait fait aurait été de me frapper et de m'engueuler sur ma moustache, pourtant saillante, si bien dessinée et taillée. J'en prenais soin, c'était ma raison de vivre, même si ma génitrice n'avait jamais supporté de voir son fils adoré porter une pilosité plus qu'impressionnante juste au-dessus de sa bouche. J'm'aimais bien comme ça, j'étais un type charmant, qui attirait les dames. J'allais encore en faire la démonstration aujourd'hui, j'en étais sûr. Ce soir, la partie de jambes en l'air qui s'annonçait serait phénoménale, tel un homme qui sort de prison.

Je profitais de ma visite pour voir les nouvelles boutiques qui avaient ouvert. Rien de bien intéressant, il y avait toujours le vieil armurier, une nouvelle glacerie et deux ou trois trucs pour femmes, des vêtements, des sacs et des trucs du genre. Comme à mon habitude, tournant à gauche deux blocs avant d'arriver à la grande place, je me rendais chez mon barbier favori histoire d'avoir un comte-rendu complet de ma pilosité et de l'entretien que je voulais en faire. J'avais pris l'habitude de voir les types de ce genre, ils étaient tous de la même famille, peu importe l'île sur laquelle ils se trouvaient. Ça me rappelait vaguement des infirmières, même si j'arrivais pas à trouver le mot exact, ni même les régions où elles exerçaient. Mon dossier se transmettait rapidement par escargofax et ils pouvaient donc me conseiller sur mes choix de coupe, de rasage ou encore d'entretien. Comme d'habitude, je dépensais quelques milliers de berrys, ressortant avec un sac rempli de lotions, de rasoirs et même de peignes ainsi qu'une taille impeccable, de quoi aguicher toute jolie jeune femme qui se respectait, ou pas.

J'avais finalement choisi de me rendre sur la grande place, observer cet échafaud si magnifique où j'espérais vraiment ne pas finir. Peut-être que j'aurais pu y envoyer quelques mecs en forçant un peu, en négociant avec les vieux. Cet endroit était quand même sacré, même pour eux et ils n'y envoyaient que les personnes dignes d'être un exemple pour les jeunes, de les dégoûter de la piraterie. J'avais rien à craindre, j'étais pas le type le plus dangereux du monde et surtout pas le mec que les enfants prenaient en modèle. Même si faute grave je faisais, ils n'auraient pas pris le risque de me virer, mes pouvoirs risquant de les mettre à mal plutôt facilement. C'était pas le moment de penser à ça, j'avais pas encore la quarantaine, j'étais pas prêt de rendre ma moustache et mon insigne pour me mettre à la retraite. J'avais encore le temps de chopper pas mal de mecs et de me retrouver ici, même si je voulais pas vraiment.

Arrêtant de penser à des choses comme ça, je me mis finalement en quête de filles plutôt susceptibles d'être vaginalement accessibles. Un terme magnifiquement inventé par mes soins qui désignait des jeunes femmes plutôt ouvertes, cherchant des relations fortes, sans suite avec un brave gaillard dans mon genre. J'offrais tout, de la prestation au petit-déj', de quoi satisfaire la plupart des dames.
Alors que mon regard analysait l'assemblée, je disposais comme d'un radar éliminant d'office tous ceux portant le sexe long, mes yeux se portèrent sur une petite demoiselle aux cheveux grisonnants, à l'apparence chétive, mais qui aurait été parfaite pour quelques heures. Dans toute la foule, je me mis à la suivre discrètement, m'arrêtant pour regarder quelques vitrines alors qu'elles ne m'intéressaient. J'étais le parfait touriste, jusqu'au moment où, alors que je tentais une approche absolument dégueulasse à base de bousculade, apparemment, non contrôlée, je remarquai, lorsqu'elle se retourna, quelque chose qui me choqua un peu.


« Hi mad'moizelle !!! Ah... Mais... Euh... T'as quel âge gaminette ? »

Viol sur une mineure, j'étais pas sûr d'être couvert par les vieux pour ce délit. Au pire, j'pouvais toujours demander, après me l'être faite bien sûr !


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MessageSujet: Re: [FB] Retour au Bercail [Izayoi] [FB] Retour au Bercail [Izayoi] Icon_minitime1Jeu 14 Fév - 17:02



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Deux ans, déjà deux ans qu’elle c’était éveillée à cette nouvelle vie cybernétique. Alors qu’elle ne serait qu’une jeune ado’, si la mort n’était pas venue la saisir aussi soudainement. Aujourd’hui, dans cette nouvelle vie, la demoiselle était, une jeune femme. Au visage assez fin, un peu juvénile, mais qui ne vieillirai plus, qui ne souffrirai plus les affres du temps. Dépourvue de sentiments mais néanmoins en quête de ceux-ci. Intriguée et attirée par ses choses qui font de l’humain sont unicité dans toutes les blues. Malgré cette quête, ca vie restait assez loin de toute tentative. Ses rares sorties étant au service de son propriétaire, un commandeur de la marine, incapable de ce contenter de ses richesses et de son pouvoir actuel, désireux d’acquérir toujours plus. Ce pourquoi il avait acquis la demoiselle d’ailleurs. Entre deux batailles, se trouvait deux assassinats, et au milieu de ceux-ci, des journées comme celle-ci ; ou elle pouvait sortir faire les courses nécessaire au bon entretien de la demeure, au bon suivi des stocks en cuisine ; Bref. Une journée de plus en servitude. Loin de tout contact social normal. Mais non, n’allez pas croire qu’elle s’en plaignait. Biensur, c’était regrettable pour ses propres acquis qu’elle ne puisse accéder ne fut-ce qu’à la recherche du but de sa quête. Mais au moins, elle ne pouvait rien ressentir de la maltraitance subie ou des horribles choses qu’elle devait accomplir, elle ne souffrait pas non plus du fort manque de liberté. Comment pourrait-on souffrir de ce que l’on à, semble-t-il, jamais eu ? Bref. L’androïde était dans un de ses journées, à songer au comportement humain. Sa tenue ? Habituelle, puisqu’elle l’avait en pas moins de sept exemplaires. Une petite tenue de servante bien banale ; quoi qu’un peu serrée à la poitrine. Un panier en osier entre ses mains et quelques premières emplettes. Il faisait beau, il faisait chaud. Ou peut-être pas, en tous les cas, la cyborg voyait el soleil et en supposait qu’il faisait chaud. Sa peau polymère ne lui permettant pas de ressentir le froid ou le chaud, a cette époque en tous cas.

Malgré qu’elle fut plongée dans ses pensées, un cerveau plus un cerveau positronique, un ordinateur naturel et un artificiel quoi, ca permet de faire plusieurs choses simultanément. Ainsi, en plus de déambuler sans soucis tout en songeant comme le ferait n’importe qu’elle être humain, la cyborg analysait, il y avait là bas, un barbue qui sortait de chez les barbiers schruller & fils, comme à l’heure habitude ce jour de la semaine à cette heure précise. Là-bas, l’agent Jenny accompagnée d’un petit chien-tigre cracheur de feu, elle, Jenny, c’était une belle plante assez grande aux cheveux bleu-vert, verbalisai un petit navire mal garé devant un commerce. Au loin, un bâtiment dépassait légèrement des autres, le siège social de la Sylphe, SARL basée à logue Town est partout dans le monde et propriétaire d’un grand nombre de chaine commerciale. Un couple de vieux jetai des miettes à des oiseaux roucoulant de ce somptueux repas et… Un mec qui l’avait regardée très bizarrement et qui maintenant allait dans sa direction tout en regardant la vitrine d’un sex-shop récemment installé. Bien qu’il fut dans son dos, elle avait tourné la tête au degré minimum nécessaire pour le voir et ainsi, ne pas être remarquée. Doucement et presque naturellement, son pas c’était accélérer. S’il était un espion, il ne l’aurait pas vivante !

Un pas et puis, une bousculade. Biensur, elle n’aurait pas bougé d’un pouce si une dalle de la route n’était pas juste surélevée du millimètre de trop. Son pied heurta le caillou qui se brisa d’ailleurs sous l’impact avec le pied cybernétique et la demoiselle tomba au sol à quatre pattes. Déclenchant un filtre sur ses yeux qui devinrent alors rouge sombre. Son panier ayant valdingué un peu plus loin et les deux trois courses (un shampoing, un jus d’orange dans une bouteille en verre ainsi qu’un sachet de tomates, bref, tout était ruiné.) ; La maid reporta rapidement son regard vers l’ « agitateur ». Tout à fait inexpressive. Celui qu’elle avait repérée et par son assaut il n’était probablement pas un assassin ou un espion. D’ailleurs, son ordinateur en profita pour une analyse qui ne duras qu’une fraction de seconde : Presque quarante an probablement de part ses rides symptomatique de cet âge, un mâchoire carrée, indiquant un certain coter, archaïque… Des gênes anciens plus prédominant que chez d’autres. Sa force physique devait donc en être accrue ou au moins l’ébullition de ses hormones. Aussi, il portait la moustache, qu’il venait celons toute vraisemblance de faire couper par main de maitre, là, trois noms vinrent en mémoire flash, l’un d’eux confirmer par les articles qu’il avait lui-même laissé tomber.

L’instant d’après, elle se redressait et époussetait sa tenue ; lâchant, sans la moindre intonation : « J’espère que vous n’avez pas de mal », elle savait bien que non, puis exécutant une courte courbette de politesse « j’espère que vous accepterai mes excuses. » et sans le laisser répondre s’en retournai, se parlant maintenant à elle-même : « Je n’ai plus le budget pour les courses demandées maintenant. » Ce n’était en rien une plainte mais juste, une constatation qu’elle dit tout en ramassant son panier et y refourguant ce qui était récupérable, le shampoing juste un peu vidé. Elle se ferait probablement battre en rentrant, la douleur était l’une des rares sensation développée par sa si réaliste peau. Un coté agréable y était donc assimilé pour la cyborg, ou en tous cas, elle essayait de s’en persuader. Cela lui permettant d’approcher quelques sensations humaines. L’agent de sécurité locale regardait dans leur direction, s’assurant par la-même que l’affaire ne débordait pas en affrontement. Les pirates en ayant la fâcheuse habitude.

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MessageSujet: Re: [FB] Retour au Bercail [Izayoi] [FB] Retour au Bercail [Izayoi] Icon_minitime1Jeu 14 Fév - 18:47



La chute de l'année venait de se produire. Aussi fou que cela puisse paraître, je n'avais pas bien compris pourquoi, mais je m'étais retrouvé au sol, les quatre fers en l'air. Mon premier geste fut celui de ma main qui allait à ma moustache. Intacte. Soulagé, je m'étais donc rapidement relevé, dépoussiérant mes habits, ramassant mon sac de lotions et rasoirs en tous genres pour le remettre sous mon bras. Regardant devant moi, je vis finalement la jeune femme faire de même, se relever, se dépoussiérer. Bizarrement, elle ne pestait pas, ne jurait pas contre moi alors que j'étais celui qui lui était rentré dedans après qu'elle eut trébuché. Une autre femme m'aurait facilement tiré les poils pubiens pour moins que ça. Cette petite soubrette, vu son accoutrement plutôt osé, était donc assez sympa. Soit elle n'osait pas se rebeller, soit elle s'en foutait, c'était certain.
En tant que mec clean, gentil et gentleman tant que j'avais pas couché, je l'aidai à ramasser ce qu'elle avait fait tomber, en profitant pour lui taper la conversation. Elle n'avait même pas répondu à cette question, j'espérais quand même pas avoir à faire avec une mineure, sans quoi j'étais dans la merde. Son teint, son visage lisse, sans imperfection, on pouvait pas avoir presque la vingtaine et d'être aussi bonne facture. Il y avait un 'blème, un truc qui clochait. Fallait que je découvre quoi.


« Pas mal ! J'suis un brave type, un mec comme ça, solide ! Pas de souci pour les excuses, je te suis un peu rentré dedans !!
Par contre pour l'argent, tu vas devoir te démerder ! »


Magnifique réponse de ma part, j'avais gérer tel les Dieux. J'étais fin prêt pour une nouvelle approche, une tentative de la mettre dans mon pieux. Je savais pas trop comment j'allais lui balancer ça, mais j'avais une imagination sans failles. J'étais prêt, attention, usant d'un magnifique sourire sous ma moustache, je balançais la sauce, sans le sens figuré du terme.

« Et sinon, ce soir pour un petit dîner, t'es dispo' mademoiselle ? »

Wahou, quelle magnifique entrée en matière. J'étais satisfait et espérait quand même pouvoir obtenir un petit rendez-vous. Ma libido était à fond, je voulais tout donner, prêt à lui faire tourner la tête et beaucoup d'autres choses. Par contre, son air et ses paroles toujours aussi plats, sans vie. J'avais un peu peur, je devais avouer, peur qu'elle me morde, me bouffe ou me tue, mais sa beauté, sa perfection, j'pouvais pas la laisser passer. J'avais faim, une faim comme on en trouvait plus, comme quand on avait une bonne dalle. J'étais pas prêt à dépenser des thunes, c'était clair, le repas serait un sandwich, mais j'allais vite fait la ramener sur le navire, en profitant pour la suite.

« Et répond oui !! »

D'un oeil, je vis que la sécurité regardait maintenant ailleurs vu que la situation s'était améliorée. J'avais pas l'intention de foutre le bordel ou autre chose, j'étais en mode séducteur, bachelor et tout ce qu'on voulait d'autre capable de serrer une fille. Un rassemblement de pirates salopards ? Pas moyen que ça m'atteigne, de toute façon, il y en avait pas dans les environs, pas ici, enfin je l'espérais.




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MessageSujet: Re: [FB] Retour au Bercail [Izayoi] [FB] Retour au Bercail [Izayoi] Icon_minitime1Jeu 14 Fév - 22:48



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L’autre essayait de l’aider à ramasser ses affaires ; la Cyborg ne laissa faire puisque de toute manière, elle n’en voulait plus, aussi, elle protégea l’intérieur de son panier en le plaçant dans son dos pour qu’il comprenne que des tomates écrasées et un litre de jus de fruit rependus au sol n’allais pas là, mais bien dans une poubelle. Biensur, la demoiselle aurait pus le faire elle-même, si celle-ci avait jugé que ce fut à elle d’opérer cette tache. Autant personne n’avait le droit de toucher à son ménage, autant là, ca ne la concernait plus vraiment. Dans la foulée le ‘vieil’ homme lacha quelques paroles, un peu stéréotypée qui dans la banque de donnée d’Izayoi convenait plus à de jeunes gens jmenfoutistes plus qu’à un gentleman. Peut-être un forban, un pilier de bar ou bien un bodybuilder-sans-vie-sexuelle-adéquate. Voilà les seules possibilités concernant cette personne qui parvinrent en mémoire de l’androïde qui le regardait, non pas consternée mais toujours aussi dépourvue d’expressivité. Bien que, si elle avait était plus elle-même, la consternation devant tant de maladroitesse assumée aurait été de mise sans nul doute possible ! D’autant qu’il faisait son radin par rapport à des propos qui ne lui étaient pas attribués. Bref, ce ‘mec’ était très, bizare. Intriguant, comme bien des choses qui l’interrogeait sur l’humanité. Oui, Stachemou avait suscité l’intérêt de la conserve. Autant qu’un certain poulet frit’ de chez K.F.C !

Probablement qu’il souriait, au vus du mouvement incongru de sa moustache garnie. Qui avait ce mérite d’être propre, trop pour appartenir à un quelconque pilier de bar. Voilà donc une conclusion qui tombait à l’eau pourtant, elle avait eu un pourcentage bien plus important sur cette option. Voilà maintenant qu’il proposait un diner, vus sa radinerie, cela était très… Illogique ! Du coup, la dernière option devenait plus probable. Surtout avec sa carrure. Elle restait toujours aussi inexpressive, haussant les épaules elle voulut répondre mais il reprit la parole, intimant un oui, ce à quoi la cyborg répondit « Non » Bah ouai… Elle n’avait pas que ca à foutre la servante ! Surtout qu’un repas, c’est pendant les heures du repas (non ?!) et pendant ses heures, son propriétaire mange ; Sa présence est donc d’autant plus importante. Bref, n’importe quel crétin, en voyant la tenue qu’elle porte, l’aurait probablement comprit. Mais pas lui.. Du coup, l’option sur le forban reprenait un peu de pourcentage de probabilité. La conserve douée d’intelligence ce retourna alors, lui présentant donc son dos. Dos dans lequel elle portait de ses deux mains son panier.

Elle perdait du temps sur son emploi du temps, heureusement qu’elle avait tout prévue avec deux ou trois heures d’avances. Deux bonnes heures qui pourraient lui permettre de trouver ce que ce poilu pouvait être exactement. Car la réponse à cette question restait en suspend : « Vous êtes probablement en manque, moustachu. » conclut-elle assez honnêtement, n’étant pas dans son intérêt de mentir. La Cyborg regardait vers les docks ; l’agent Jenny était au fer verbal avec deux abrutis qui venait d’accoster avec une mini embarcation dotée d’un drapeau pirate. Pas très malin. L’une de ses mains lâcha son panier, elle tendit le bras dans une direction bien précise, indiquant une maison de joie bien réputée, reprenant la parole toujours aussi neutre dans son timbre de vois, dans des propos qui auraient pus être ironique, agressif, elle n’y voyait qu’une proposition pouvant mieux lui convenir : « Je pense que cet endroit vous conviendrait mieux pour sustenter vos primales envies monsieur. Sinon, si vous voulez grignoter quelque chose, j’ai deux heures devant moi. Mais tenez-le vous pour dit, jamais vous ne m’aurez dans votre lit » là au moins c’était clair. S’il acceptait elle pourrait assouvir ses pulsions d’intrigue susciter pars cet homme mais lui devrait contenir les siennes. Sinon, eh bien tant pis. Elle passerait son chemin. Achèverait ses courses et la journée serait aussi terne que les autres. Dépourvue de tout intérêt novateur. De toute recherche sur l’humain et son comportement social dans des conditions dites et préalablement analysées. Bref… Ce srait, comme d’habitude.

Pour le grignotage, y avait un vendeur de chien chaud, enfin, de saucisse de chien dans du pain avec ketchup et mayo. Non loin de là ce trouvait un crêpier comme on en trouve sur les marchés. Izayoi grignoterai quelque chose là bas sans nul doute, puisque ce nourrissant de Nutella, probablement que la moustache choisirait la viande de chien à défaut d’autre chose puisqu’il n’y avait effectivement rien d’autres avec de la viande a moins d’aller carrément dans un restaurant.

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MessageSujet: Re: [FB] Retour au Bercail [Izayoi] [FB] Retour au Bercail [Izayoi] Icon_minitime1Ven 15 Fév - 11:11



Bim. Je venais de tomber de haut. Un « non » catégorique assez impressionnant m'avait fait chavirer le coeur, mais surtout un autre « organe » très décideur chez l'homme. Cette femme venait donc de refuser mes avances. Aussi dégueulasses étaient-elles, j'avais imaginé une autre tournure pour les évènements. Un petit côté bad-boy qui aurait pu plaire aux plus coquines tandis que les plus dominatrices auraient tenté de ma mâter. Pour moi, c'était un jeu et je leur aurais vite fait comprendre qui était le patron, le mâle, le meilleur, celui qui dirigeait le bateau, elles étant seulement les cuisinières ou les laveuses de bouées.

Alors que tout ceci aurait pu s'arrêter là, elle me lança des paroles blessantes qui me firent presque lâcher une larme. Si elles avaient été dites violemment, il était clair que je me serais énervé tout en pleurant comme la plus grande des tapettes. Son ton tellement neutre ne m'avait presque rien fait. Il avait fallu le temps que j'analyse les mots pour comprendre qu'elle m'importunait. Je détestais les femmes de son genre, même s'il m'était arrivé d'en séduire plusieurs, comme un challenge, pour me prouver à moi-même que je pouvais vraiment attraper tout ce qui traînait. J'avais peur de rien en amour, vraiment peur de rien.

Finalement, après quelques secondes d'observation, elle me proposa, d'un doigt tendu, d'une manière presque mécanique, un lieu tout à fait honorable : une sorte de maison close où des filles qui n'attendaient que les hommes, et surtout les billets qui dépassaient de leurs proches, pour se faire de l'argent. J'étais pas très friand de ce genre de choses, je devais l'admettre, surtout celle de Logue Town puisque j'en étais chaleureux propriétaire. Oui, toutes ces filles m'appartenaient, je les avais, au moins une fois, toutes testées. Fallait dire que derrière mes manières archaïques, j'étais un type que beaucoup de femmes voulaient, peu importe la façon dont je les abordais. J'avais des atouts dissimulés et très voyants qui me permettaient de telles choses.
Avec entrain, je répondis finalement à la demande de la jeune femme qui avait choisi de me proposer un petit rendez-vous, deux heures de temps, au bout desquelles elle affirmait que je ne me retrouverais pas dans son lit.


« J'accepte ! Allons au restaurant, c'est moi qui offre ! »

L'attrapant par le bras, tel le gentleman que je pouvais être, je lui faisais alors visiter Logue Town, lâchant quelques commentaires sur les lieux que je connaissais. Pour le lieu où manger, j'avais choisi une charmante auberge qui proposait des plats typiques des mers : des fruits de mer et de la bonne viande de monstre marin. Les prix n'étaient pas très abordables, je devais bien l'admettre, mais j'étais prêt à tout pour l'attirer dans mon lit, voire mieux de la mettre enceinte.

Ordonnant au major d'homme de nous trouver une table plutôt coquette et bien située, j'installai la dame tout en lui tendant le menu et commandant deux apéritifs tout ce qu'il y avait de plus sympathiques : un bon rhum pour moi, l'un des meilleurs de la région et quelque chose de bon pour elle, au gingembre, histoire de lui faire comprendre et de lui rappeler quelles étaient mes véritables intentions. Dégustant mon verre tout en regardant la carte, je lui posai quelques questions, voulant quand même m'intéresser à la personne que j'avais invitée et qui risquait de me coûter pas mal de pognon.


« Sinon, tu fais quoi dans la vie ? Et tu t''appelles comment ? »

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Finalement, il la prit, par le bras. Une action bien étrange qui intrigua d’autant plus Izayoi. Il était vrai que les humains avaient cette fascination pour le contact physique mais être prise ainsi, embarquée par un humain, n’était pas très habituel et elle fut incapable d’en déterminer les tenants et aboutissants. Tout ce dont elle était certaine c’était bien du fait qu’il lui était presque impossible de rebrousser chemin comme on retrousserait un poil de barbe venait d’être peigné ! Visiblement, il ne voulait pas d’un grignotage rapide mais plus un allé au restaurant. Celons sa base de données, le restaurant est un endroit ou l’on prend le temps de ce repaitre tout en discutant et en riant. Le repas durant minimum une heure rien que le temps de manger l’entrée le plat et le dessert, pour peu qu’il y ait un apéritif, un digestif, beaucoup de paroles. Bref. Visiblement il ne comptait plus sur ses pulsions primales puisqu’Izayoi avait clairement exposée qu’elle avait deux heures. L’autre option s’envolait aussi. La moins probable s’affirmait alors, un forban ? Ce n’était pas logique mais lorsque toutes les solutions possibles sont exclue, l’illogique devient alors possible. Tels furent les paroles d’un sage écrivain qui était lui aussi stocker dans sa base de donnée. Bref, peut-être serait-il donc bon qu’elle détermine ou non s’il l’était et si oui, qu’elle en informe son propriétaire ? C’était une éventualité, quoi qu’aucun ordre ne lui indique d’agir ainsi ; les malandrins et autres vandales étaient dans la disgrâce la plus totale dans chacune de ses informations. Outre bien sur Jack Sparrow mais bon là, on arrive dans le sujet du fictif !

L’endroit, chic, luxueux, dérangea un peu l’androïde qui manqua bien de s’en aller. Il n’y à que des propriétaires et maitres qui mangent ici et loin d’elle l’envie d’en devenir une même l’espace d’un repas ! Mais bon, son engagement était irréversible maintenant alors, bien que regardée par les gens présent à cause de sa tenue, elle partit sans honte de ses regards, s’asseoir à une chaise de la table qu’avait demandé le moustachu. Le temps d’arriver ici, il lui avait présenté la ville en omettant bien des détails mais la cyborg n’avait rien dit. Ecouter un humain, rien de plus fascinant ! Mais quand même, qu’il ose prétendre connaitre l’endroit en oubliant les démentions, le nombre de brique ou ce genre de choses pourtant bien stocker sur son disque dur. Et quand bien même, elle était native d’ici en tant qu’humaine et ensuite en tant que cyborg, inutile de dire donc, qu’elle connaissait les lieux m’enfin. I ca pouvait faire frémir ca moustache de la douce saveur de ce croire supérieur… Quelque chose de stupide mais de tout à fait humain. D’autant que la cyborg ne pouvait trouver cela stupide, ceci aurait engendrer de sa part, un sentiment, dont elle était privée.

Finalement, elle ce retrouva avec une carte en mains, une carte qu’elle feuilleta bien trop vite pour avoir le temps de lire, si elle avait été humaine bien entendu. La regardant comme quand on voudrait choisir une page au hasard. Puis posa la carte sur la table : Pas al moindre trace de Nutella ni même de Burger, les seuls composants qu’elle pouvait avaler de manière utile. Mais était-ce bien le but du restaurant que de manger de manière prolifique ? Peut-être pas. Assise, les mains sur ses jambes évitant soigneusement tout contact avec la table. Ce restaurant servait donc en dehors des heures de repas. Intéressant. Elle ne le savait pas, ca. A nouveau la moustache ce trouva quelque peu, maladroite. Demander à une maid en tenue de servante ce qu’elle fait comme travail ; c’est un peu stupide faut l’avouer. Il ne devait pas avoir l’habitude de passer par ce genre d’étape, clairement ! En tous cas, c’est ce que l’algorithme suggérait. Puis lui demandant son nom. Une question qui impliquait une réponse inexacte. Mais l’androïde n’avait rien a cacher et elle répondit du tac au tac alors que des verres commandés à leur arrivée étaient enfin posés sur la table :

« Demander à une servante en tenue de travail, ce qu’elle fait, est un peu… Incongru, non ? » Son regard portait sur les alentours. Être dans un endroit aussi chic était vraiment… Dérangeant, anormal celons ses fonctions ! Surtout pour y manger ! Sans le regarder donc, elle continua de parler : « Mon nom, doit être izayoi, Izayoi Sekai. Je suppose que je dois vous retourner vos questions. » Voilà qui était dit. Nullement impressionnée et toujours aussi peu expressive. Quoi que peut-être un chouillate mal à l’aise à cause de l’endroit ou elle se trouvait, sans regarder le verre elle le prit d’une main délicate qui imposa de légèrement écarter le petit doigt et de regarder l’homme moustachu. Restaurant, apéritif, trinqué. Voilà l’algorithme en rapport avec tout ce qu’il y avait alors elle le regarda de nouveau et cogna son verre dans le siens sans vraiment lui laisser le choix et bus une petite lichée avant de le reposer : Gingembre, jus de citron, jus d’orange.. Sucre vanillé et… Un peu de gras de frittes, mal lavé probablement. » Elle avait déjà remarquée que donner des pourcentages mettait mal à l’aise les humains, chose remarquée lorsque son propriétaire lui faisait gouter les plats et demandai ce qu’il y avait dedans pour ne pas être empoisonné. « Je suppose que vous avez encore de l’espoir, pour me commander un alcool au gingembre, si je puis me permettre, un mélange Gingembre-Ginseng serait alors plus adapté. Bien que cela n’aura aucun effet sur moi. » Finalement peut-être n’était-il pas forban mais juste mauvais en calcul pensant l’avoir dans son lit après un repas qui durerai minimum la moitié du temps restant et probablement plus. L’intrigue n’en fut que plus grande.

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MessageSujet: Re: [FB] Retour au Bercail [Izayoi] [FB] Retour au Bercail [Izayoi] Icon_minitime1Ven 15 Fév - 15:46



Le rhum était bon, ce restaurant était un peu chicos, mais l'ambiance était bonne. Ne manquait plus qu'une chose : des tass' à revendre, de la bonne fraîche prête à se dandiner pour que je m'occupe, gracieusement et sans contrepartie financière, d'elles. J'avais écumé toute la salle du regard, inspectant les moindres recoins, mais je devais admettre une chose : la seule personne de cet acabit se trouvait devant moi. Elle était la seule personne pour laquelle j'avais envie de dépenser quelques calories à l'heure actuelle. Il fallait me rendre à l'évidence, j'étais vraiment un mec difficile. J'avais pensé à abandonner en voyant tous les refus que je me prenais, cette peste étant, elle aussi, plutôt sélective. Mais, à chaque fois que l'idée ne m'avait qu'effleuré l'esprit, j'avais pensé instantanément à la satisfaction reçue si j'arrivais à me la faire. J'aurais été si fier de moi que j'aurais pu déplacer une montagne et même arracher un orteil de l'Amiral en Chef avec les dents sans craindre de représailles. J'étais devenu fou pendant quelques secondes, sa voix me réveillant lorsqu'elle se présenta.

Elle me prenait pour un niais de ne pas avoir découvert son métier. Certes, elle était sapée comme une bonne, mais j'avais croisé pas mal de monde sur ces mers et j'avais une certitude : le proverbe « l'habit ne fait pas le moindre, tout comme le décolleté ne fait pas la biatch » s'était validé à chacune de mes rencontres. Les gens s'habillaient n'importe comment et il m'était devenu familier de croiser des types qui marchaient sur les braises en bottes fourrées dans la vie. Oui, c'était fou. Je m'étais donc dit que, comme tous les autres, elle était peut-être folle et aimait attirer l'attention des hommes tout comme être dominée, sans pour autant que ce soit son taf. J'avais eu faux, tant pis, j'avais ma réponse et j'en étais satisfait.
Son nom ne me disait rien et n'était pas très commun, jamais entendu parlé, jamais vu sur un journal, elle était donc une fille sans histoire, sans vie. D'un côté, cela me plaisait puisque les risques qu'une affaire de viol soit médiatisée diminuaient, de l'autre, c'était moins classe que de se faire l'actrice la plus en vue du moment. Tant pis, j'prenais ce qu'il y avait, tant que j'étais satisfait.
Ce fut finalement en pensant à ses paroles à savoir pas dans un lit, que j'eus plusieurs idées comme la ruelle de derrière ou encore d'autres endroits plus incongrus. Au final, je répondis, parlant de moi comme un brave guerrier des mers, mettant le ton adéquat pour être un type en vogue et dans le coup.


« Heinson, John Heinson. Mon travail ? Chasser les pirates pour me faire du flouz' »

En tant que mec mystérieux, j'restais dans le vague, j'avais pas de raison de lui balancer que j'étais un capitaine corsaire. C'était un peu une profession à double tranchant : les plus dominantes aimaient me voir comme le larbin du Gouvernement dont elles pourraient contrôler les ébats, je leur montrais rapidement le contraire une fois l'engin sorti, les plus dominées aimaient quand même ma vigueur de pirate. Au milieu de tout ça, des filles qui ne pensaient qu'à un des deux côtés, mais qui ne faisaient pas partie de ces catégories, celles qui me refoulaient à cause de ça. En me masquant ainsi, je la jouais fine et espérais pouvoir attirer un peu plus son attention.

En plus, le cocktail arrivait et j'allais peut-être avoir une chance. Pourtant, alors qu'elle frappa mon verre avec le sien d'une manière froide, comme si elle n'avait que le geste, mais pas l'émotion qui allait avec, elle me fit une analyse détaille de ce que contenait le récipient. J'étais déçu, certes, mais le pire dans tout ça, c'est qu'elle me proposa une autre mixture qui aurait été plus efficace. Mon égo en prenait un coup, j'étais dégoûté et comprenait que l'affaire n'était pas gagnée.


« Qui ne tente rien n'a rien, hein ! Bon, pas que ça me casse les couilles, mais ce resto' est quand même cher. Ca te dérange si on se taille sans payer, j't'emmène ailleurs, dans un parc, avec une crêpe au choc', ok ? »

La messe était dite. Sans même attendre sa réponse, je m'étais rué dehors, ouvrant la porte d'un violent coup de pied et courant comme les plus grands sprinters ne l'avaient jamais fait. Fallait qu'elle suive, j'avais déjà une bien bonne idée et peut-être qu'une petite gourmandise attiserait son appétit pour les bonnes choses de la vie.

Après deux minutes de course et une planque dans un buisson, je ressortis accompagné de la donzelle. Dans un stand ambulant, je commandai deux crêpes au chocolat, mais là, pour moi, pour ma vie, ce fut le drame.


« De la bière dans les crêpes ? Un scandale, une honte, un blasphème, une arnaque ! On me prend pour un con ! Du rhum ! Il faut mettre du RHUM ! Et en plus pas de chocolat, mais de la pâte là, au Nutella ! »
« Calmez-vous monsieur ! Je vous en fais une gratuite pour la peine ! »
« Ouais, va te... Une gratuite ?! Ok ! »

Payant une petite somme, je tendis sa crêpe à la jeune femme, espérant qu'elle avait un assez gros estomac pour que sa fin reste bien ancrée dans ses entrailles et qu'elle ait envie de l'estomper avec mon corps.
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MessageSujet: Re: [FB] Retour au Bercail [Izayoi] [FB] Retour au Bercail [Izayoi] Icon_minitime1Sam 16 Fév - 15:13



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Etrangement, son attitude venait de changer. Il semblait plus classe ou vouloir donne recette impression. Venait-il de songe rà quelque chose qui l’émoustillait assez ? Ca réponse répondit à cette question, il ne faisait que ce présenter, tel un stéréotype plus trop accrocheur, complètement dépasser celons les normes actuelles. Bref. Voilà pourquoi il avait un instant sembler vraiment s’y croire. Aussi cette réponse répondit à la question d’intrigue premier de al cyborg, il était donc parmi les forbans ou bien, les chausseurs de prime spécialiser, ce qui n’était pas si différent au final celons sa propre banque de donnée. D’une certaine manière, il avait un peu le même travail : Larbin de quelqu’un d’autre. A la différence que lui, ca changerai régulièrement de proprio’ et rendait al choses quelque peu, différente et ingérable. Tout comme sa mentalité affichée D’ailleurs… Enfin, restait un doute, il semblait vraiment avoir les hormones en ébullition ! Pourquoi ? Qu’elle en était la raison. Outre les raisons scientifiques bien entendu, pourquoi ne pas aller dans une maison de joie par exemple plutôt que perdre son temps avec une cause perdue ? Cette intrigue là était toujours présente et il fallait à l’androïde résoudre ce problème en récoltant le plus d’informations possible.

D’ailleurs il avait semblé un peu déçu lorsqu’elle avait évoquée la composition de la boisson. Là aussi, elle ne comprenait pas l’intérêt de boire ce genre de choses hormis pour les vertus médicinale et autre, si ce n’est pour en trouver la composition ? Encore un programme en total décalage avec l’humanité, encore une intrigue et son lot de questions ! Elle devait, tout savoir, tout comprendre ! En maintenant, moins de deux heures. Pas beaucoup, juste une petite quinzaine de minutes additionnées à trente huit secondes un tiers.. Comprenant la visite, l’installation et la commande.

Alors, son projet d’étude ce leva soudain après quelques autres propos. Ne pas payer ? Impossible ! Intolérable ! Et vraiment ingérable… comme elle l’avait déterminée peu avant. Sa main plongée dans son tablier de maid, grande poche avant, elle sortit une somme d’argent équivalente au prix des deux boissons et déposa les sous. Probablement qu’il n’avait pas remarqué puisqu’il était déjà à la porte tapant d’un grand coup de pied. La servante elle faisait une petite courbette en, direction du serveur avant de se retourner vers la sortie et de suivre en courant : Que ne lui faisait-il as faire ! Maintenant elle ne pouvait plus terminer les courses ! Bien qu’elle ait toujours dans une main son panier qu’il était hors de question d’oublier. La demoiselle rejoignit assez rapidement le moustachu qui courrait foutrement vite. Heureusement, l’avantage de ne pas avoir de cœur c’est qu’on ne ressent pas la douleur ou la fatigue alors suivre un rythme élevé est beaucoup plus facile. Une raison bien suffisante à ce qu’elle le rattrape, maladroitement parc qu’elle avait quand-même des mocassins à talons, bien que bas, ou faible pour être plus précis, ils étaient tout de même là et aller aussi-vite avec ce genre de chaussures n’était pas particulièrement agréable, ni adéquat.

L’autre ce réfugiait dans des buissons alors que la cyborg acheva sa course d’un vol plané vers ce même buissons ou elle s’écrasa lamentablement, de nouveau. Le temps qu’elle se relève, constate la destruction autant de son panier que du tube de shampoing.. Qu’elle jette le tout dans une poubelle prévue à cet effet, la moustache sortait de sa planque. Plus glorieuse que jamais malgré les évènements. La servante l’avait de nouveau rejoint, sans rien dire, elle n’avait pas à le réprimer quoi qu’une petite leçon lui aurait été utile s’il avait été lui-même assujettit au service d’un maitre unique et constant… Un petit parc, fort agréable. Un lac alimentait par un ruisseau, ou quelques canards déambulaient joyeusement. Un ilot prévu pour eux, abritait une maison faite par les hommes pour le confort de ses volatils. Celle-ci était tout juste visible entre deux arbres. Au bord de ce même lac, un stand. Quelques personnes ce baladant, un ou deux clients. Voilà ou l’avait amenée son cobaye. Qui déjà refaisait des siennes, il avait commandé des crêpes et le mec qui faisait celles-ci avait ‘oser’ mettre de la bière. Une stupidité qu’Izayoi partageait. Une bière intéresse les humains pour le gout et les bulles, dans une crêpe, plus de bubulles.. Alors pourquoi ? Elle fut donc surprise de voir que certains humains partageaient sa logique et opinait positivement de la tête en silence alors qu’il hurlait sur le pauvre crêpier. Chose qu’elle fit à l’inverse négativement lorsqu’il critiqua le Nutella dont la forte présence d’Huile était parfaite pour huiler le moteur de la cyborg ainsi que tous ses autres conduits. Et dont le mélange chocolat-noisette était le plus à même de recharger ses batteries.

Finalement, effrayer, le vendeur offrit la moitié de la commande. Vus la sueur qui perlait de son front, il aurait probablement tout offert avec un peu plus d’insistance. Rapidement elle avait sa crêpe en main ; lâchant un simple remerciement à la moustache sauvage puis croqua dans son manger qui fit aussitôt apparaitre quelques petites étoiles dans ses yeux. Si elle devait s’écouter, probablement que le stand serait dévaliser de tout son stock en pâte à tartiner ! Sans un mot, et en pas plus de trois bouchées, voilà qu’elle avait terminée. Plus de sous pour en payer une autre et vus la vitesse à laquelle elle avait dévorée la crêpe, difficile de croire que la moustache, rien que pour pas en mettre sur celle-ci (la moustache xD) avait pus finir aussi : « Vous ne mangez pas ? » demanda-t-elle alors, espérant avec certitude qu’il n’ai déjà plus fin et tout aussi interloquée qu’il n’ait pas encore terminer alors qu’elle, elle c’était retenue !

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MessageSujet: Re: [FB] Retour au Bercail [Izayoi] [FB] Retour au Bercail [Izayoi] Icon_minitime1Dim 17 Fév - 11:17



Ce marchand m'avait saoulé, mais j'avais quand même réussi à marchander. Bon, c'était un truc dégueulasse que j'aimais pas vraiment, mais j'étais satisfait d'avoir eu une ristourne, même si c'était par la force et l'engueulade. Niveau marchandage, j'étais pas vraiment doué pour autre chose, je me contentais de ça pour arriver à mes fins et à la pression que je pouvais mettre sur ces types. Fort d'une expérience inégalée et inégalable dans le domaine de la beuverie et de la bouffe, j'avais une expertise sans faille sur les prix pratiqués par les restaurants ; il était donc rare que je me fasse arnaquer et je prenais plutôt plaisir à faire jouer la concurrence comme le plus grand des enculés.

Cette histoire m'avait quand même fait chier, surtout par rapport au chocolat qui ne l'était pas. Je voulais pas manger de cette merde, je la gardais donc dans la main en profitant pour regarder autour de moi, pensant que l'affaire serait décidément plus compliquée que prévu. Plus les secondes passaient et moins cette femme m'intéressait. Je les aimais mystérieuses, certes, mais pas complètement renfermées sur elle-même. À part être inintéressante, elle avait rien montré d'autre, je me devais quand même de réagir, de voir si je pouvais tirer autre chose de cette gamine. Pour le sexe, je commençais à comprendre que c'était mort, qu'il fallait pas que j'y compte, mais dans le business ? Elle pouvait peut-être me permettre de me faire quelques berrys ou autres trucs du genre ? Des billets qui partiraient chaque semaine de Logue Town pour me rejoindre, c'était une bonne affaire et ça m'aurait permis de voir les mauvais jours venir au cas où la pêche serait maigre. Dans mes captures j'étais quand même efficace, cette somme aurait sûrement été capitalisée.


« Non, j'la veux pas cette crêpe ! Bouffe ! »

Je lui tendis mon bien, la laissant s'en emparer à vitesse éclair. Elle avait vraiment faim de cette pâte dégueulasse et remplie de mauvaises choses vraiment pas bonnes pour entretenir un corps et une libido musclés comme les miens. Plus la situation avançait et plus mon excitation diminuait, je redevenais peu à peu un papy normal, celui qui avait manqué son coup et qui allait encore connaître une semaine d'abstinence. J'étais mal, mais bon, peut-être que j'allais m'intéresser à la personne, j'avais plus que ça à faire. Ma partie de chasse serait remise à plus tard, sur d'la meuf plus coquine.

« Et sinon, à part ton métier, tu fais quoi dans la vie ? Pas de rêves ou d'autres trucs du genre ? »

Elle risquait de sentir que je commençais à me faire chier, surtout que je regardais à peu près toutes les nénettes qui passaient non loin en espérant en trouver des vaginalement accessibles d'un simple regard. Je réfléchissais, votais et éliminais les maillons faibles tout en me concentrant sur celles qui avaient d'envie d'un peu de sauvagerie dans leur vie. J'attendais patiemment la réponse de la fille, me disant qu'elle devait quand même avoir d'autres objectifs que de rester au service d'un type toute sa vie. Avoir un peu d'ambition ne faisait pas de mal et ça permettait de s'aérer l'esprit, de connaître de grandes aventures et de rencontrer beaucoup de monde.

J'espérais qu'elle me sorte pas une réponse toute faite et qu'elle arrête de me prendre pour un niais, ma mine indiquant quand même que j'étais plus sérieux que tout à l'heure et que je commençais à me lasser de son corps pas si rêveur que ça à comparaison des filles que mon regard croisait. Mes pulsions revenaient et il fallait avouer que j'étais capable de repartir à la chasse d'ici quelques secondes.

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MessageSujet: Re: [FB] Retour au Bercail [Izayoi] [FB] Retour au Bercail [Izayoi] Icon_minitime1Lun 18 Fév - 18:28



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Malgré son langage, il n’avait pas fallu bien longtemps à Izayoi pour ce saisir de la crêpe du moustachu, ni encore moins pour la terminer. Bref. Au moins, il était un peu moins radin qu’il n’y paraissait pour accepter de se défaite de Nutella en sa possession ! Peut-être n’était-il pas complètement perdu au final. Quelque-chose sous sa moustache était peut-être, récupérable ! Quoi qu’elle s’en fichait au fond. Bien qu’il n’était pas du genre très agréable, ni très doué en drague d’ailleurs. L’unique intérêt de la cyborg étant dans l’étude de cet énergumène, loin d’elle l’envie ou le besoin de le changer de fut-ce que d’une infinitésimalitée parcelle de sa personnalité. La maid avala la crêpe, manquant de se bloquer le conduit d’assimilation elle dus taper fort du poing vers le haut du sternum, forçant celle-ci a descendre comme n’importe qui l’aurait probablement fait en ayant manger trop vite d’ailleurs. Un pouce de Nutella sur le coin des lèvres et ce fut pourtant là ! A cet instant précis… Que la maid aurait réellement pus s’etouffer ! Si toute fois elle avait été dotée d’un sentiment similaire à la surprise. En guise d’étonnement cependant, elle avait arquée un sourcil, oubliant d’essuyer ses lèvres et regarda de nouveau l’homme moustachu. Ainsi donc, il était capable d’avoir une discutions normale ? Non… Impossible bien sûr !

En le regardant de nouveau, elle suivit sans tourner son regard ou et ‘quoi’ il regardait. La cyborg comprit qu’il cherchait une autre proie. Il était donc venu le temps de pousser l’étude jusqu’à son paroxysme, l’interaction pratique ! Mais d’abord, elle devait répondre, historie de suivre et intéresser la moustache dans ce qu’elle allait enchérir ensuite : « Non. Je ne rêve pas, ni ne nourrit d’espoir sur ma condition. Bien qu’il semble, que je le devrais, dans d’autres circonstances. je ne vous retourne pas la question puisque votre rêve présent semble être clair pour tous le monde... » Elle regardait maintenant elle aussi les passantes avec une concentration stoïque farouche. Analysant leurs gestuelles, vêtements et autres signes avant-coureur par rapport a toutes les données qu’elle pouvait avoir sur le sujet. Y comprit l’odeur de celles qui passaient assez proche, leur rythme de course, les ralentissements possibles par rapport a la sueur et donc au rythme cardiaque bref… Vraiment beaucoup de données qui se calculaient maintenant automatiquement dans des algorithmes de supposition faisant au plus logique possible. Bien que l’amour ne fut-pas forcément résumable par la logique, l’envie sexuelle elle… L’était totalement ! Son pourcentage d’erreur estimer à moins de quinze pour cent, il n’aurait que peu de chance de ce prendre un râteau en suivant ce qu’elle allait dire :

Quand elle eut-terminée de lui répondre, la maid pointa une joggeuse du doigt. Pas de gros seins certes, mais elle était sur de son choix pour la perverse moustache : « Elle ! Elle est ouverte sexuellement c’est assez clair, et vus comment ses pupilles ont tournées dans ses yeux pour vous regarder quand elle est passée à coter de nous, puis me haïr de jalousie toujours du regard… Peut-être sans qu’elle s’en rende compte d’ailleurs, les primitifs effluves que vous dégagez l’attirent, un simple bonjour et vous l’aurez derrière n’importe quel arbre. » À nouveau elle avait était tout ce que l’on peut trouver de plus inexpressif. Loin de vouloir être méchante au niveau des trucs primitif qu’il dégageait, constatant juste des faits. D’ailleurs, elle ne le laissa par répondre et dirigea son index accusateur vers une nouvelle membre de la gente féminine ; un peu plus de son âge, potelée aussi et bien moins sportive mais dont les formes étaient tout ce qu’il y à de plus… Intéressant ?: « Celle-ci aussi vous sautera au cou pour pas un sous et, je suppose, tout ce que vous lui demanderez. »

Voilà donc qui était dit. Pour peu, la chose aurait pus susciter de l’amusement à la servante qui y avait mit avec soudaineté, un peu plus d’émotions, ou plus exactement d’entrain ! Prenant cette mission qu’elle c’était seule confiée vraiment très au sérieux et en plus, ca lui permettrait de voir si les informations qu’elle avait en stock sur les signes avant coureurs d’envies sexuelles étaient exacts ou pas et ainsi élaboré la pourtant nouvelle technique de sélection et pré sélection adaptée à ce qu’elle avait du coup analyser du comportement ainsi que de ce que pouvait représenter cette moustache en manque. Son autre bras était tendu vers l’arrière, vers le crêpier, réclamant une nouvelle crêpe ! Essayant d’une gestuelle des doigts incompréhensible de lui faire comprendre que le plus de Nutella possible serait vraiment très gentil de sa part. Toujours à vouloir faire dans le trop complexe pour le pauvre petit cerveau humain. Si pathétique et peu utilisé. Quoi qu’il fut si intéressant à étudier malgré son faible emploi total. D’ailleurs, la Cyborg aurait bien ouvert le crane du forban pour voir quel pouvait être son Q.I.

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MessageSujet: Re: [FB] Retour au Bercail [Izayoi] [FB] Retour au Bercail [Izayoi] Icon_minitime1Mar 19 Fév - 17:52


Cette meuf commençait à être plutôt drôle. Elle avait un côté louche, un peu dégueulasse lorsqu'elle demandait les crêpes. Aucun sentiment, ni de gêne, rien. Elle voulait un truc, elle demandait, sans se poser des questions sur la manière d'aborder la personne et quoi lui dire. Elle allait droit au but, ne ressentait pas les hésitations normalement humaines. C'était une drôle de personne, même si elle voulait pas d'une petite partie de jambes en l'air avec moi. De toute façon, j'avais déjà choisi de changer de cible aussi vite que je m'étais pointé vers elle. Dès que ça marchait pas, j'essayais pas trop longtemps. J'voulais de l'action, pas d'un truc de sérieux, tant que la fille avait un boul acceptable, je tapais dedans. Sa personnalité, tout ça, je m'en foutais tant qu'elle me transmettait pas de maladie.

Même si elle m'avait pas posé la question, j'avais quand même décidé de répondre. Elle croyait que mon seul but dans la vie c'était de ma taper des gonz', mais j'avais quand mêmes des rêves plus sérieux, bien que beaucoup moins réalisables. J'avais des envies de biff' affolantes ainsi qu'un égocentrisme démesuré qui m'obligeait à vouloir devenir le seigneur des mers, le roi, le dirigeant, celui que l'on ne contrariait pas, qu'on ne contrôlait pas, qui donnait les ordres, qui était le patron, bottant le cul de ses employés à la moindre envie.


« J'réponds quand même, j'vais devenir le plus grand pirate de tous les temps, le plus riche, le meilleur ! »

Ouais, j'lui avais balancé que j'étais un pirate, j'en avais rien à foutre.
Mais bon, j'savais pas si elle m'avait calculé alors j'écoutais quand même ce qu'elle me racontait. Habilement, elle m'avait trouvé deux jeunes femmes qui auraient eu envie de faire certaines choses avec moi. La première, bien qu'en sueur et pas forcément très bien fournie niveau air bags avait un petit côté attachant et des lèvres pulpeuses qui pouvaient servir à autre chose qu'à mettre du rouge à lèvres.
La deuxième, un peu plus en chair, possédait le graal qui permettait toutes les possibilités du monde : deux montagnes sur le torse, de quoi s'amuser pendant de longues heures. D'après la jeune femme, elles étaient toutes les deux intéressées par le bonhomme que j'étais : un type, un vrai, un mec viril qui en avait dans le pantalon et qui saurait les satisfaire.

Sans réfléchir, j'avais pris une très grande décision : rattraper la joggeuse et lui proposer un petit plan avec l'autre, histoire de pouvoir m'imaginer avec la femme parfaite : fine, mais avec une importance masse graisseuse avant les tétons.


« Bon, bah, merci du conseil ! Ciao ! Tiens, mange encore des crêpes ! J'te remercie meetic girl ! »

Lui jetant les quelques billets qui traînaient dans mes poches, en gros de quoi s'acheter le stand tout entier, je me lançais dans une course effrénée vers la victoire. La joggeuse rattrapée, je débutai la conversation, la voyant totalement intéressée par ce que je racontais. Elle avait totalement délaissé son entraînement.
Quelques minutes plus tard, je tenais la première par la taille d'une main, la deuxième dans l'autre. Direction : mon navire, lieu de tous les plaisirs et endroit le plus adéquat pour toutes sortes de coquineries.

Le charme de la moustache (robotique) avait encore fonctionné.

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MessageSujet: Re: [FB] Retour au Bercail [Izayoi] [FB] Retour au Bercail [Izayoi] Icon_minitime1Mar 19 Fév - 18:54



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Pirate avait-il avoué. Voilà donc qui attestait quelques suppositions de la cyborg. Mais elle ne s’y attarda pas, elle n’en avait plus vraiment de doutes lorsqu’il avait enfin « avoué », ainsi la demoiselle pointa une femme puis une autre, toutes deux étant clairement pour le fait de se donner à la kung-fu-moustache ! L’autre derrière comprenait pas qu’elle voulait une autre crêpe et visiblement… N’était pas prêt de comprendre. Une demi-heure tout au plus c’était écoulée depuis le début de leur rencontre et l’étincelante moustache fonça vers la première puis surgit face à la seconde. Voilà donc qu’il repartait avec deux femmes pour assouvir ses plus basses envies. La cyborg avait donc réussie et pour une fois, avait été payé.

Bien qu’elle ne l’aurait ni demander ni accepter en temps normal ; il lui était clairement impossible de terminer ses courses si elle n’acceptait pas l’argent en surnombre offert par cette moustache. D’un coter, la cyborg était satisfaite, neutrement satisfaite si seulement peux être possible. Ayant pris soin de cet humain qui de plus avait soulevé une partie du brouillard de guerre qui enveloppait l’espèce humaine aux yeux de celle-ci.

Un sourire ? Fut-ce un sourire qui c’était, finement, dessiné sur ses lèvres ? Qu’il le fut ou pas, il n’y avait presque aussitôt plus rien. Ensuite la cyborg, saisie des billets avant qu’ils ne touchent le sol, c’était acheté 5 crêpes au Nutella, 5 sacs… Ayant encore du temps devant-elle, ses systèmes avaient alors prit cette décision : En apprendre un peu plus sur l’humanité en contemplant un ébat sexuel. L’androïde devait faire preuve de finesse, pour suivre le forban et s’infiltrer dans son navire mais…

Croyez-le ou pas, la demoiselle c’était introduite avec succès dans la carcasse de bois flottante et sur une grosse poutre, dans un angle difficile d’accès depuis le lit pour les yeux humains, elle observa le début des hostilités ! Intéressant, intriguant même… Ainsi il voulait faire ça avec elle ? Eh bien ! Le pauvre homme moustachu rêvait clairement ! Jamais la cyborg ne se prêterait a ce genre de violent acte primitif. Toutefois, la chose était très intéressante, les quelques paroles échangées, la domination de l’homme sur les femmes… vraiment, ce jour-là, Izayoi comprit pas mal de choses en plus sur l’espèce à laquelle elle appartenait avant. Observant tranquillement tout en dévorant ses crêpes, avant la fin… Elle était partit d’ici.

Alors la servante avait repris son labeur, d’abord achevant ses courses avec minutie puis, retrouvant dans la belle demeure de son néfaste propriétaire. Sans arrêter de penser à ce qui c’était passer dans la journée. Elle avait donc sympathiser avec un ennemi de la marine, ennemi donc de son propriétaire et de ses supérieurs, cependant, il faudrait qu’elle le revoit. Ce serait probablement intéressant voir instructif. Tien ? Elle ne lui avait même pas dit qu’elle était une Cyborg. Peut-être n’étaient-ils pas si proche de ce que la race des hommes appellent l’amitié ! Etrange ! Elle y avait pourtant songée après ses remerciements, n’ayant pas l’habitude d’en recevoir. Peut-être que l’amitié lui était interdite alors et dans ce cas, ce serait dommage. Une étude plus approfondie de ca aussi, ce serait nécessaire, lorsque sa vie lui permettrait de trouver le temps et les gens adéquat à cette étude de longue haleine. Ce pirate reviendrait-ici, puisqu’il connaissait l’endroit visiblement moyennement bien c’est que ce n’étaient probablement ni la première, ni la seconde vois qu’il venait ici et d’ailleurs, le fait qu’il sortait du barbier était un autre signe, Logue Town étant l’une des principales villes de la moustache ! Bien que ce fut peu connu de la plupart des gens, désintéressé de ce genre de choses, enfin bref… Comme il reviendrait, ce serait donc l’idéal cobaye de cette nouvelle étude.

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