[FB]Les Débuts de la Vongola Family

Le vent ne nait pas d'un soupir”

« Être dans le vent : une ambition de feuille morte... »

Alvida mordit sauvagement dans le morceau de pain qu'elle venait d'emprunter. Elle marchait résolument dans la ville, emplit de certitudes. Les paroles du vieil hommes revenaient à elle.

" Cette île détermine le départ d'un rêve qui devient réalité. Bien des héros à ce jour y sont nés et bien d'autres y naitront. Le vent lui même y prends source."

Oh, il avait eu beau parlait encore, Alvida était déjà décidé. Ce vieil homme n'était rien pour elle, enfin si... Une sorte de magicien auquel Alvida avait rendu visite. Non pas qu'elle soit superstitieuse mais la jeune pirate cherchait quelque chose et seule, elle ne trouvait pas de réponses. Peut être était elle naïve de croire ce vieux fou, mais dés qu'il parla du vent, Alvida décida de se rendre sur cette mystérieuse île: Logue Town. Elle était loin d'y arriver, mais une chose était sûre, lorsque Alvida a quelque chose en tête, elle va jusqu'au bout, la désertion ne lui avait jamais traversé l'esprit, elle n'était pas assez... intelligente? pour fuir.

C'est ainsi que, après maintes aventures douteuses et pas vraiment honnêtes, qu'Alvida parvint en vue de l'île. Elle sentait déjà dans la brise l'odeur de sa victoire. Elle était alors sur un bateau de contrebandier, des personnes aimables mais quelque peu... bestiales. Lorsque la jeune pirate leur parla de ce qu'elle attendait de l'île, ces derniers éclatèrent de rire:

" GIAHAHAHA!!! Il ta vraiment parlé de commencement ce mec? Mais... t'es au courant de ce qu'est cette île?"

Alvida se demandai bien pourquoi cet homme se moquait ainsi d'elle et, levant un sourcil elle haussa les épaules en signe d'ignorance. Le bonhomme la regarda, éberlué, posa une main sur sa tête en lui frottant les cheveux d'un air dépité, puis, il reprit la parole:

" Eh bien! qui m'aurait dit un jour que je croiserai une pirate qui ne connaisse pas la fin de Gold D Roger."

Voyant l'air indécis de sa partenaire, l'homme en vint même à se demander si cette sois disant pirate connaissait l'existence tout cours de ce Roger qui fut un jour seigneur des pirates. C'est pourquoi, alors qu'ils débarquaient à Logue Town, il laissa partir Alvida en lui souhaitant une chance énorme.

Une fois sur l'île, Alvida ne remarqua pas l'effet "miracle" dont lui avait parlé le vieil homme. Mais au moins, elle était parvenue sur cette île et il fallait maintenant qu'elle trouve autre chose à faire, et pourquoi pas, un équipage de valeur? Elle marcha un moment dans l'île puis, après avoir kidnappé un morceau de pain à un passant, entra dans une taverne aux allures douteuses. L'endroit n'était pas vraiment agité mais plusieurs groupes s'étaient crées, dont un, qui parlait fougueusement en agitant un morceau de papier, poussé par un mystérieux vent, elle s'assit avec eux en commandant une bière. Après les avoir promptement salué, elle écouta leur conversation. Ils parlaient d'une lettre que certains d'entre eux avaient reçu. Un certain Edward recrutait. Était ce un simple hasard ou sont jour de chance? Alvida y vit la un signe. Sirotant sa bière, elle jeta un coup d’œil à la lettre. Le curieux capitaine donnait rendez vous le jour même sur une certaine place de la "Potence". Si elle avait bien suivie, les hommes autour de la table se demandaient s'ils allaient y aller, sachant que c'était fou de se rendre là-bas en hurlant sur du papier qu'il était pirate.

Alvida vit un autre papier sur la table. Il s'agissait d'une affiche Wanted, celle du mystérieux capitaine. Elle s'en empara et, finissant son verre sortit du Bar. Elle allait voir ça de plus près. Cet homme était intrépide, il possedait déjà une prime et il était sur Logue Town. Quoi de plus pour la persuader? Ah si... il semblait plutôt beau garçon.
Alvida ne connaissait pas l'île, et bien que la place de la "Potence" fut presque un lieu de pèlerinage, elle ne prit garde aux panneaux qui l'indiquaient. Elle passa même devant sans remarquer l'instrument de mort qui siégeait en son centre. Au bout d'un certain temps, elle se décida à se renseigner auprès d'une vieille dame qui promenait son chien:

"Excusez moi, sauriez vous ou se trouve la place de la "Po...tent"?

La vieille dame la regarda bizarrement, mais Alvida lui offrit un sourire si éclatant qu'elle répondit d'un geste évasif vers une rue adjacente en disant qu'elle se trouvait autour de la Potence.Alvida la remercia d'un signe de tête et descendit la rue. C'est d'ailleurs à ce moment là qu'elle remarqua que "potence" était... absent de son vocabulaire. Mais elle n'y prit pas garde, il pouvait s'agir après tout d'une sorte de fontaine... ou de statut, ce n'était pas bien important. Cependant, lorsqu'elle arriva au bout de la rue, sur une sorte de grande place, ce n'était pas une jolie fontaine qui l'attendait mais une machine de mort, et seul le bar avoisinant nommé "A la bonne Potence" lui soutint qu'il s'agissait bien de la place recherchée. Elle regarda donc aux alentours et s'avança vers un homme qui, comme de par hasard, ressemblait à celui de l'affiche. Appuyé contre un mur il était pour le moment seul, mais déjà une autre jeune femme venait à sa rencontre alors qu'Alvida s'avançait. Lorsqu'elle arriva près d'eux, elle leva son affiche et la mit à côté de l'homme pour vérifier que c'était bien lui. Elle lui adressa un grand sourire et ne put se retenir de dire:

" Salut, vous auriez tout de même pu joindre un plan à votre annonce, c'est pas comme si tout le monde connaissait l'existence de cette pot...ence!"

Alvida joignit un sourire aimable à son discours, le jeune homme convenait parfaitement à l'image qu'elle se faisait d'un capitaine.

Les choses avaient bien avançaient depuis sa naissance, maintenant il avait bien, au moins presque deux semaines depuis qu’il avait ouvert ses mirettes ! De quoi se prendre pour un grand, un redoutable prédateur de jeu, un canaillou parmi les pires forbans de ce monde. Mordre les mollets des gens était certes intéressant, mais s’attaquer à un papillon relevait de la varie aventure, pouvant mener au plus grand des trésors comme a la pire des malédictions. Hier encore, une aventure de ce genre l’avait mené à affronter un terrifiant représentant de la gente fourmilienne. Une petite ouvrière pourtant très impressionnante et agressive. Le combat acharné lui avait valus un petit bouton sur la truffe l’ayant contraint à fuir ce premier affrontement terrifiant. Pour sur, un jour, il se vengerait de ses monstres sortit de l’abime. D’ailleurs ; il comptait s’entrainer dur pour sa avec Vexy, le seul autre membre de la meute. Il ne pouvait pas l’entrainer dans ses difficiles aventures ; concrètement, elle avait de grosses difficultés à parler, donc forcément, difficile de combattre conjointement sans le dialogue. Expression orale qui était née toute seule chez le jeune animal ; une expression empruntant aux renards, aux loups, aux chats aussi.. Mais aussi de l’humain, milieu de vie oblige. Bien développé, ses membres étaient toujours potelets comparé à sa taille : pour sur il mangeait bien.. Très bien même. Du coup, sa démarche gardait des allures de robots mal fabriqué. Malgré sa condition physique, il était cependant venu l’heure de dormir, et de rêver. Des songes qui le portaient loin dans des aventures encore plus mirifiques. Dans ses mondes, Vexy parlait correctement et ils pouvaient aller découvrir de grand trésor chocolaté, faire des experience avec des pouf et des PAF, qui faisaient alors des chocapics ! ET le matin. Terrible… Pour certains. Pas pour lui ! Déjà, le réveil était avec des câlins une fois sur deux. L’autre moitié, bein c’était lui qui léchait avidement le visage de Vexy pour qu’elle émerge, souvent entre trois et quatre heure du matin……….. Pour aller faire pipi en bas du lit.

Les yeux grands ouverts. Là il faisait chaud et bon, en boule contre les jambes de Juki, en fait dans le creux que forme son corps quand elle dort ; donc plus au niveau du bassin cette nuit-là. Impossible qu’il ce lève tout de suite, là y faisait trop bon pour ca ! Malheureusement, Vexy ne ressentait pas le même bien-être et ce levait déjà. Pourquoi ils étaient ici ? Le jeune renardo n’en savait absolument rien. D’ailleurs, il s’en fichait un peu. Manger, calin, dormir, jouer.. Que demander de plus au final ? Il fallait bien sortir, le petit dej’, le premier repars de la journée allait être servir, histoire de l’enfruiter un peu plus. Rampant sous les lourdes couvertures, la boule de poil s’extirpa de cet amas destructeur, sortant la tête avec une joie incommensurable, espérant obtenir pour cet exploit quelques câlins…

…Mais visiblement, elle était préoccupée, la femelle de la meute à deux membres. Bon, tant pis, vos mieux ce rabattre sur la boubouffe alors. Debout, le chocofox regarda avec appréhension le bas du li et aboya avec crainte contre cet ennemi invisible : la peur du vide. Mais il était temps de grandir alors, prenant son courage à deux mains, il prit son élan, courant maladroitement de sa déambulation toujours aussi incertaine et … fermant les paupières, ce trouva saisis par les mains de sa partenaire qui le déposait comme tous les matins au sol. Une grande victoire ! L’incontestable supériorité de la meute sur leurs agresseurs ! Eh oui, c’était encore une grande victoire pour le duo. Remuant les deux queues pour indiquer sa joie il avança assez vivement pour suivre la jeune femme au pelage rose.

Lorsqu’on lui demanda quel pelage porter, parce qu’il avait fini par comprendre le but de la question à force de répétition et d’esprit un minimum logique ; il songea en réponse que sans ses faux pelage ce serait bien mieux ? Ainsi avant qu’elle ne propose la moindre parure il jappa avec enthousiasme ! « WA, WA ! Juki wa ! » Mais bon, forcément, elle croirait probablement qu’il n’à rien comprit et ne fait que répondre au fait qu’on dise son nom. Nom qu’il répétait d’ailleurs aussi souvent qu’il aboyait ou grognait et qui avait permit à son langage de s’étoffer de quelques variantes improbables jusqu’alors pour un Jiki vivant auprès des siens. Elle choisie de mettre du faux pelage. Dommage. Mais bon, la journée ne faisait que commencer et outre la déception d’un choix pas normal, l’animal comptait bien choisir d’autres choses ainsi quand elle se maquilla, il apporta dans sa petite gueule une couleur qu’il trouvait drôle sur son visage, un tube de rose a lèvre très pal et qui collait bien a son pelage de tête. Finalement ; il était venu l’heure de partir ; l’animal s‘exécuta en grimpant sur l’épaule de la demoiselle, se maintenant en enroulant ses queues au coup de sa partenaire. ET mordillant son oreille lorsqu’il s’ennuyait, a défaut d’attaquer la branche des lunettes qu’il avait en ligne de mire au départ… Ainsi lorsqu’ils furent sur la place, il était à mordre gentiment cette oreille pour lui signifier qu’il voulait jouer.