L'histoire que je vais vous racouter, se passe il y a 2 ou 3 ans. À cette époque-là, je n’étais pas encore un révolutionnaire ! Seulement un explorateur, les navires de commerce étaient mon moyen de locomotion ! Pour payer cela, ainsi que la bouffe et mon habitat temporaire ! Je faisais quelques boulots minables, tel que serveur, cuistot ou chasseur de prime. J’aimais particulièrement ce dernier, car c’était le seul où je ne pouvais pas me faire renvoyer à cause de mon comportement, qui était un peu trop révoltant au gout de mes différents bosses. Bref, ce récit se passe sur la célèbre île de Logue Town, situé dans l’océan d’East Blue. Bien entendu, vous la connaissez comme beaucoup de monde sur Terre ! Si jamais, vous êtes des incultes de la vie ou/et des ermites ! Je vais vous dire pourquoi elle autant connue ! Ce bout de terre qui porte le surnom de « La ville où tout commence et tout se termine », est là qu’est né et mort un certain Gol D. Roger, alias « Le premier roi des pirates », l’un des rares hommes qui ait entièrement traversé la route de tous les périls. Et oui, les gens, il faut en avoir dans le froc’ pour faire ça et je ne parle pas de merde ! Grâce à cela, la ville est touristique, car beaucoup de Monde veulent voir là où ce conquérant des mers s’est fait exécuter.

Non loin de cet endroit, dont je viens de vous parler, soit la place de l’échafaud. Dans un bar, sur une chaise proche d’un tonneau qui me servait de table, j’étais assis. D’un regard attentif, je regardais la carte de bas en haut. Essayant de voir quels étaient les bons plans. Etant donné qu’il ne me restait pas tellement d’oseille dans les poches, je décidais de prendre leur canard laqué, qu’ils disaient excellent, malgré son cout relativement bas ! Était-ce vraiment du canard qu’il y avait dedans ? Ou était-ce simplement du poulet ? Voir pire ! Ça se trouve, c’était même du pigeon, engraissé au pain périmé, qui sait ! Mais bon, comme moi je suis un bonhomme, un vrai ! Je décidais de prendre le risque ! Après quelques longues minutes d’attentes, pendant lesquels, je m’étais vengé sur leur pain, qui avait plus le gout de farine qu’autre chose. Mon plat arrivait ! Comme on dit : « Toute vient à point à qui sait attendre » (Note de l’auteur : Je ne comprends pas du toute cette expression ! Car si on attend, c’est que ce n’est pas à l’heure nan ! Certes, avec la cuisine, c’est bien normal d’attendre! Mais bon, dix minutes, c’est bon, par contre à partir de quinze, moi je dis que c’est trop ! Et oui, je suis un vrai râleur). Après avoir inspecté attentivement le plat, afin d’identifier qu’en effet c’était bien le bon animal qui était dans mon assiette. Je mettais ma serviette autour du cou, tel le bavoir d’un gros bébé et prenais mes deux couverts en mains. Puis, je me plongeais vers mon assiette et attaquais durement ma viande, sans trop la découper proprement et en faisant de gros bouts que j’avalais d’un seul coup …

Enfin, c’est ce que je voulais faire à la base, le manger gros bout par gros bout. Cependant, je ne pus le faire ! C’était pratiquement impossible, aucun homme sur Terre ne le pouvait, à part les gros porcs qui aiment quand leur bouffe est fade, amère, crue, cuite, brulée, congelée ou même périmée. En gros, quand ce sont des mecs qui ont toujours faim ! Pourquoi disais-je cela, alors que je n’étais même pas critique gastronomique ? Tout simplement, car c’était immangeable ! Sur le dessous du canard, la peau était entièrement cramée, comme si ils avaient fait cuir ce pauvre animal, dans un four sans plaque ! A cause de cela ! La viande était entièrement sèche, tout à l’heure, j’avais parlé de pain périmé ! Et bah là, c’est ce que je mangeais ! Et enfin, pour finir, il faut leur apprendre qu’une sauce en normalement, c’est fait pour être un minimum liquide ! Pas dure comme du verre ! Tellement que c’était dégueulasse, je ne pus m’empêcher de sortir cette phrase de ma bouche : « put** ! C’est de la bouffe martienne ou quoi ça ? ». En plus de le dire, je ne pus me l’empêcher de parler à haute voix ! À cause de cela, tous les gens de la salle se retournèrent vers moi ! Et je ne vous raconte pas la gueule du tavernier ! Il avait même fait la technique du poisson-lune, soit de gonfler ses joues ! Mais peut-être qu’il ne le sait pas ! Sur lui, ça ne fait pas peur ... Tellement que cette idée me trottait la tête, je ne pus vous traduire la fin de ma pensée avant qu’elle ne me sorte par la bouche : « Si t’as tellement envie de chier que ça, fais-le dans tes assiettes, au moins ça sera meilleur que tes plats dégueulasses ! ». Et oui ! Encore une fois dans ma vie, des mots venaient de s’échapper de ma bouche, sans que je ne puisse rien faire ! De plus, c’était la deuxième fois en même pas 15 secondes ! Si jamais je ne faisais rien, je risquais ma vie ! Alors, j’activais l’un de mes pouvoirs, lié au fruit que j’avais avalé, étant plus jeune. La technique que j’utilisais à ce moment-là s’appelait : « Je suis une flaque » (Aucun commentaire sur son magnifique nom s’il vous plait !) et elle me permettait de me transformer en soie liquide, très utile pour ne pas être touché par une attaque physique ou pour espionner et s’enfuir. Bref, une fois, que je fus entièrement composé d’un liquide blanc-gris, je me cassais vite fait de là, tout en me faisant « marcher » dessus et insulter de mutant par les alcoolos du coin.

Même dehors, je gardais cette forme-là, jusqu’à m’éloigner assez pour reprendre ma forme originelle. Pendant ce laps de temps où mon corps reprenait la forme d'un con, je vus un homme, poursuivi par une drôle de femme. Pourquoi disais-je cela ? En normalement, je m’en foutrai complétement, je l’avoue, à part si la fille était bonne, mais bon là, en terme de beauté, on fait plus beau beau, mais aussi plus moche. Alors, pourquoi avais-je remarqué ce drôle de couple, enfin cet homme ? Car il était recherché par la marine ! Certes, si je l’attrapais, je ne deviendrai pas Crésus, mais j’arriverai à ne rien foutre pendant quelques semaines au moins ! Alors, tout en courant, je suivais ces deux personnes, jusqu’à ce qu’elles s’arrêtent dans une petite ruelle de la vieille ville. Qu’est-ce qu’elles voulaient faire ? Je ne sais pas ! Néanmoins, ce n’était pas pour du cul ! Mais bien, pour de l’argent ! Et oui ! Je n’étais pas le seul sur le coup ! J’avais entendu que la jeune femme était là elle aussi pour le tuer ! Alors que faire ! Est-ce qu’il fallait que je me jette sur le pirate pour l'assassiner ou attendre qu’elle le fasse et lui voler le cadavre au moment le plus opportun ? Étant donné que je suis un peu feignant ces temps-ci, je choisissais la seconde option ! Seulement, après quelques secondes qu’elle ait parlées, la jeune femme avait déjà remarqué que j’étais là et me demandât de sortir de mon ombre ! Je m’exécutai et à ma grande surprise, l’homme était par terre avec un petit trou au milieu de son front ! Visiblement, il était mort ! Et oui, je n’ai pas besoin de diplôme de légiste moi pour être aussi sûr de l’état de quelqu’un ! Après avoir examiné le corps d’un œil de lynx et avoir vu qu’il n’y avait aucune preuve de défense de la part du défunt, je pus constater que cette femme était une pro’ ! Ma cagoule dans ses yeux, je lui disais ces quelques mots :

Hey, mais t’es vraiment doué toi ! Mais bon, j’espère que tu n’es pas douée que dans ce domaine hein ! Si tu veux, je te peux te faire un petit contrôle des connaissances ! Mais bon, avant, tu pourrais me passer ce corps, afin que je le ramène à la marine, histoire que tu ne te salisses pas les mains en le faisant ! Et on fait 50/50, si ça ne te dérange pas !

Lui prononçais-je d’un air assez amical et un peu plus tendancieux quand je parlais de ces compétences.

Eh merde ! Cette foutue fille m’avait remarqué ! Alors, que j’avais tout faire pour ne pas me faire voir. Bien entendu, étant un parfait gentleman, j’écoutais les dires de la jeune femme et me présentais devant elle. Visiblement, elle avait déjà tué ma cible, l’homme à la capuche qui s’appelait en réalité Lapi Shog, était déjà étalé par terre, sans vie, avec un petit trou en plein milieu du front, du sang en coulait encore. A côté de lui, se trouvait son assassin, une jeune femme, qui avait un point commun avec sa pauvre victime, une capuche ! Était-ce pour cela qu’elle l’avait tué ? Car, selon elle, une capuche ne pouvait aller qu’à une seule personne … elle ? Bref, outre ce vêtement, en-dessous se cachait une tête plutôt particulière, tout d’abord, il y avait ses longs cheveux dorés, se rejoignaient sous son menton, via une tresse. Néanmoins, comme elle n’était pas maso, elle n’était pas serrée à fond, donc ne l’étranglait pas. Outre ça, mon sens d’inspecteur gadget fut intrigué par quelque chose d’autre, c’étaient ces iris, d’un côté, elle avait un œil "normal", d’une couleur assez rare, qui était le violet. Et enfin, l’autre, il était blanc … Marchait-il encore ? Était-elle aveugle ? Est-ce que j’allais pouvoir me servir de cette faiblesse contre elle ? C’était la question ! Ou, ça se trouve, c’était peut-être un attrape couillon ! Un défaut de naissance quoi ! Sinon, à part cela, elle n’avait rien de bien particulier, ces courbes étaient normales pour une femme de son âge, donc ça pendait pas. Par contre, ces bras n’étaient pas trop épais, est-ce qu’elle manquait de force physique et d’impact au corps à corps ? Je me posais cette question, même si j’avais déjà vu des personnes avec la peau sur les os, foutre une bonne grosse beigne. Bref, revenons au feu de l’action, si vous voulez bien. J’étais maintenant en face d’elle, après avoir soigneusement examiné la ruelle là où nous étions, je ne pus m’empêcher de dire quelques mots à la jeune femme. Je disais qu’à la fois, elle était douée pour avoir tué un homme si rapidement. Néanmoins, je lui souhaitais aussi qu’elle n’ait pas des qualités que dans ce domaine, car sinon, elle gâcherait un si beau corps. Enfin, je lui parlais d’un marché qu’on pouvait faire tous les deux, histoire qu’elle ne se salisse pas les mains.

Néanmoins, à priori, elle n’appréciait pas les quelques mots que j’avais prononcés à son encontre, vu ce qu’elle me répondit ! Cette salope me disait, que ma mère ne m’avait pas bien éduqué, et qu’en plus de ça, c’était une prostitué ! Ah put**, j’allais la démonter celle-là à insulter ma famille ! Elle allait apprendre que de ne pas insulter une famille ! C’était l’une des choses les importantes, que ces vieux ne lui avaient pas appris, car cela permettait d’éviter de mettre toute personne trop en colère et de rester un peu plus longtemps en vie dans ce monde de brutes ! Sérieusement, pourquoi autant de violences dans ce bas Monde ? Qu’avais-je fait ? Est-ce que lui proposer un honorable était pour elle, un acte à la violence ? Je voulais juste l'aider et non l'arnaquer ! Après avoir parlé, la jeune femme passât aux actes. Elle dégainât, puis prononçât une phrase, qui n’avait aucun sens pour moi, c’était sûrement le nom de l’une de ces techniques. Néanmoins, rien ne se passât. Elle était toujours en face de moi … Jusqu’à ce que je voie son ombre, projeté sur un mur, visiblement, elle avait oublié que le soleil n’était pas encore couché et qu’il projetait toujours les traces noires, de ce qui étaient sur le chemin de ces précieux rayons. Cependant, il était trop tard pour que je ne puisse esquiver son sabre, qui était beaucoup trop proche de moi. Alors, je décidais de me laisser faire, laissant agir les pouvoirs du fruit du démon, que j’avais avalé, il y a cela quelques années. Malheureusement pour elle, qui croyait alors couper de la chair et du sang, son sabre ne passait qu’à travers de la soie liquide, qui était projeté dans tous les sens, vu que son mouvement était à la fois gracieux, mais avait aussi un minimum de violence. Pendant que mon corps se reconstituait et qu’elle s’attaquait encore à quelqu’un, je ne pus m’empêcher de dire ça, d’un air relativement déçu :

Pourquoi, à chaque fois les personnes croient en avoir fini dès le premier coup ?

Une fois que mon dos ait retrouvé son aspect de base, je m’éloignais un peu de là, histoire de prendre de la distance, vu que je détestais les combats au corps à corps, qui étaient selon moi seulement destinés à divertir les brutes. Une fois, à deux ou trois mètres de la méchante. Je montais sur un baril placé non loin. Une fois dessus, lentement, mais sûrement, je sortais de mon anorak, Pan, l’un de mes pistolets à silex. Puis je l’essuyais en me servant de mon écharpe et enfin, en tendant le bras droit, je le le mettais en joue, droit devant mon l'oeil qui était du même côté. Néanmoins, avant de faire feu, je décidais de parler, encore une fois à l’encapuchonnée, histoire de répliquer à ce qu’elle avait précédemment dit à mon sujet :

Hey l’encapuchonnée ! Tu dis que j’ai pas eu d’éducation ! Mais, moi, mes parents m’ont appris un truc d’important ! C’est quand je fais un truc, je me donne à fond et tant que je n’ai pas fini, je continue ! Pas comme toi ! Sans cette pensée, tu risques sûrement de finir sur un trottoir en train de demander 5 berrys pour procurer à quelqu’un un soi-disant plaisir.

Voilà, je venais de faire ma petite leçon sur la vie à cette jeune ignorante ! Maintenant, il ne me restait plus qu’à lui tirer dessus ! Mais avant, je décidais de lever la tête en l’air, histoire de remercier mes parents de cette phrase qu’ils m’avaient dit plus tôt, même s’ils n’étaient pas encore chez le bon Dieu, enfin, c’est ce que j’espérais. Après avoir fait ce petit rite, je fermais mon œil gauche, histoire de mieux pouvoir viser et je tirais avec mon arme. Cependant, je ne voulais pas la tuer, mais juste la faire souffrir, donc ma balle n’avait aucune destination, dite mortelle, mais seulement sa cuisse gauche, histoire de la handicaper, si après cela, elle ne voulait toujours pas fuir devant moi.

Sur mon petit baril en liège, qui me servait littéralement de chaise. Après avoir dit quelques mots à son encontre. Je décidais d’attaquer la jeune fille, qui me servait d’ennemi. Pointant mon pistolet à silex en mettant bien la visée devant mon œil, histoire d’améliorer ma précision. Quand, j’eus en ligne de mire sa jambe, étant donné que je voulais commencer doucement, mais surement, histoire de la handicaper dans le reste de notre petite confrontation, je tirai, la balle avait une trajectoire assez nette et précise, vu que je n'avais pas beaucoup tremblé. Néanmoins, après avoir prononcé deux mots, qui étaient encore une fois incompréhensible à mon oreille, vu que je ne les connaissais guère. La jeune femme s’envolât comme par magie et esquivât ma balle de justesse ! Comment c’était possible ? Je ne le savais pas, mais elle le savait ! Serait-ce dû à un fruit du démon qu’elle avait mangé ? En tout cas, ce n’était pas un zoan, vu qu’elle ne se transformait pas en animal ou en forme hybride. Pendant que je la regardais s’envoler peu à peu, je me mettais sur mes appuis, histoire de pouvoir éviter toute contre-attaque, à moins que si la jeune femme ait utilisé cette technique-là pour s’enfuir via la voie des airs. Mais bon, faut que j’arrête de rêver moi ! Au bout d’un moment, quand elle fut à une hauteur relativement haute, d’un rapide et souple mouvement de jambe, l’encapuchonnée me lançait encore une attaque en plein sur moi. Nan, son pied ne s’était pas allongé de 3 mètres pour pouvoir m’atteindre. Mais elle avait créé une simple lame d’air. En voyant cette attaque aussi coupante qu’un couteau de boucher venir sur moi ! Je me disais cette phrase, que je ne pus contenir dans ma bouche :

Et merde ! Pourquoi je me suis assis ici !

Et oui, la jeune femme n’était pas bête, elle avait visé mon siège, qui n’était autre qu’un simple baril. Qu’est-ce qu’il contenait ? Je ne le sais pas ! Mais, si jamais c’était de la poudre à canon ou de l’alcool ! C’était fini pour moi ! Il ne lui suffisait qu’à lancer une simple étincelle et j'étais HS ! J’allais devenir comme une entrecôte de bœuf, qu’on aurait trop laissée sur la plancha. Vu que j’avais remarqué une plaque d’égout pas loin. Je décidais de me jeter dedans, en espérant qu’il n’y aurait pas trop d’eau à l’intérieur. Alors je sautais de mon trône d’empereur de la ruelle. En l’air, je transformais mon corps en soie liquide, ainsi j’arrivais à passer entre les barreaux et à me faufiler sous terre. Pendant que je retombais dans le tube profond de deux mètres, je reprenais peu à peu ma forme d’humain normalement constitué. Histoire d’être à l’abri du feu, je plaquais mon corps contre le mur fait de brique, d’une contre-allée. Et attendais ainsi que cela se passe. Or, je n’avais pas calculé quelque chose, quand le feu arrivât, il restait encore un bout de mon bras qui dépassait, vu que je n’avais pas eu le temps de me protéger à 100%. Et voilà ! À cause d’un stupide manque de temps, mon corps de soie prenait petit à petit feu ! Et put** qu’est-ce que ça faisait mal ! Je soufrais le martyr, encore plus qu’un humain lambda ! Ah La Salope ! Elle allait me le payer ! Ça, je vous le jure ! Comme je n’étais pas suicidaire et que je ne voulais pas perdre un bras gauche, je me jetais par terre, dans l’eau d’assainissement de la ville pour éteindre ces flammes. Bien entendu, comme cette eau contenait toutes les merdes la ville, tel que l’eau des chiottes, de la douche, les tonnes de choses emportées par le courant quand il pleuvait… Et j’en passe des meilleurs ! Maintenant, je puais ! Et en plus de ça ! Ce blouson, que j’avais payé relativement cher, était complétement foutu ! Comme je voulais arrêter le saignement de mon bras, je mettais mon autre main sur la blessure et à l’aide de mon fruit du démon, je tissais un véritable pansement de tissu. Certes, vu comme je l’avais serré bien fort, cela me fit mal, mais bon c’était pour mon bien ! À la fois à cause de ce pansement et de la blessure qui me faisait mal à chaque fois que je bouge mon bras, ne serait que d’un centimètre, je ne pouvais plus me permettre de combattre avec, au cas où la blessure s’empirerait ! De plus, quand je me serai débarrassé de cette folle, il faudra que j’aille voir sûrement un doc’, vu que l’eau des égouts risquait sûrement de transformer ma brulure en septicémie.

Une fois que j’eus fini de faire tout ça, comme j’étais un homme, un vrai ! Je ne pouvais fuir d’un combat à cause d’une seule blessure, même si je souffrais énormément à cause de cette dernière. En plus de cette raison-là, j’en avais une seconde, je voulais me venger ! Lui faire payer ce grave affront ! De m’avoir blessé moi ! Le grand Fukashi Baka ! Une fois arrivé en haut de l’escalier qui menait à la surface. Je poussais la grille à l’aide de ma main restante. Comme cet objet en métal était encore un peu brulant, je décidais de « désactiver » la défense de logia, histoire de ne pas reprendre feu ! Heureusement pour moi, j’avais mes gants, qui limitaient le transfert de chaleur. Une fois que je fus sorti de ce trou à rat ! Et oui, c’est la bonne expression, vu les habitants des souterrains. J’étais maintenant dans un épais nuage de fumée. Comme l’encapuchonnée avait pu voir mon ombre, elle m’adressât quelques mots, qui selon elle, étaient des conseils à mon encontre :

« Première leçon pour un assassin ne jamais parlé avant une attaque, deuxième leçons toujours avoir les yeux ouverts, troisième leçons avoir toujours un plan d'avance et enfin quatrième et dernière leçon de la belle princesse que je suis : Toujours choisir son cercueil et faire son testament quand on affronte une professionnelle dans le domaine, que dis-je, dans l'art qu'est celui de l'assassinat »

Certes, le premier était relativement vrai j’avais fait une erreur de débutant, lors de ma première attaque et du fait des quelques mots que j’avais prononcés, elle avait pu esquiver mon offensive. Néanmoins, le second était entièrement faux, si je n’avais pas gardé les yeux ouverts ! Ces deux attaques auraient pu m’être fatales, or là, j’avais su les esquiver, en évitant de mourir, même si les dégâts qu’elle m’avait occasionnés, étaient assez sévères. Quant au troisième ! Il me fit un peu rire, d’ailleurs je ne pus m’empêcher de ricaner ! Pourquoi ? Car elle se prenait pour une pro’ ! Alors, que certes, elle savait combattre, mais elle en était pas une ! Elle était juste une psychopathe, aimant juste tuer des personnes, comme si ce n’étaient qu’un jeu pour elle ! Bref, elle avait dit que je ne savais pas ouvrir mes yeux au bon moment ! J’allais me servir de cette phrase contre elle, premièrement, je me camouflais dans ce brouillard, en courant un peu partout, jusqu’à savoir où elle était, d’un œil assez perçant, j’arrivais à reconnaître son ombre, perché sur le toit d’une maison. Secondement ! Pendant que je me précipitais vers elle, je sortais de la poche droite de mon pantalon, un petit sac, contenant balle et poudre pour mes armes à feu et j’avalais quelques gramme de cette fameuse poudre noire. Néanmoins, je ne l’avalais pas, mais le gardais simplement dans ma bouche. Une fois que je fus en-dessous d’elle, je chuchotais ces quelques mots, qui étaient le nom de deux de mes techniques :

Oh oh oh ! Je suis un géant et j’ai le bras long.

Puis, mes jambes se rallongeaient peu à peu, tout comme mon bras droit, celui qui n’était pas blessé. Ceci était dû à mon fruit du démon, j’arrivais à transformer mes jambes en soie solide, capable de contenir mon poids jusqu’à une certaine hauteur. Quand à mon bras, il devenait plus long, atteignant 3mètres 50 ici, afin d’asséner des coups à une portée plus grande et d’utiliser la force centrifugeuse pour augmenter la force de ces derniers. Pendant que je grandissais peu à peu, je pivotais un peu mon buste, puis d’un rapide mouvement, je le remettais à sa position initiale, emportant ainsi mon bras anormalement long avec lui ! Quand ma tête fut apparue en face de la sienne, mon bras était assez proche pour lui toucher ses côtes flottantes, à moins qu’elle n’utilise encore une fois l’une de ses techniques bizarres pour pouvoir l’esquiver bien entendu. Même si éviter une attaque, qui vise cette endroit n’est pas facile, car si on saute, on risque de se la prendre dans les jambes et si on se baisse, c’est la tête qui peut se la prendre de plein fouet en pleine gueule et avoir un sérieux mal de crâne. Pendant que mon poing se précipitait vers sa cible et qu’il finissait sa trajectoire, je crachais au visage de mon ennemie la poudre noire précédemment avalée (en réussissant à ouvrir ma cagoule tout seul, vu qu'elle n'existait uniquement grâce à mon fruit du démon (cf présentation)), pour obscurcir son champ de vision, puis je lui disais ces quelques mots :

SURPRISE MOTHER FUCKER ! Sinon pas bête d’utiliser du feu contre un logia, vu que beaucoup sont vulnérables face à cet élément ! T’es peut être folle, mais pas bête !

Techniques utilisées:

Dans cette épaisse fumée noire, j'étais comme un véritable ninja. Grâce à ma forme liquide de logia, j'étais pratiquement invisible. La seule chose qui pouvait me trahir, c'était ce bruit d'écoulement. Néanmoins, du fait qu'il y ait eu diverses explosions relativement puissantes. Les gouttières avaient été percées et déversées leur contenu sur les pavés, qui composaient la rue. Après avoir glissé sur une bonne dizaine de mètres, je me reformais derrière la jeune femme. Néanmoins, il y avait quelque chose de différents, mon avant-bras n'était plus le même ! Et oui, j'avais utilisé l'une de mes techniques : « Médor et ses amis ». Alors, mon bras s'était transformé en un dangereux chien de soie, avec des dents pouvant faire pas mal de dégâts. Avec cette attaque-là, je visais son épaule, afin de l'affaiblir encore plus. Néanmoins, quand j'allais la toucher, je sentis une vive douleur dans le ventre, c'était sûrement une répercussion de se dernière technique. Mais, en tout cas, qu'est-ce que ça faisait mal ! Cependant,sachant que j'avais peut-être la victoire au bout du bras, je n'abandonnais pas et poursuivais mon offensive. De plus, sans le vouloir, la jeune femme m'aidât en reculant. Prise au piège et avec mon bras trop près d'elle, elle ne put esquiver mon attaque. Les crocs de mon rottweilers s’enfoncèrent de quelques millimètres, voire centimètre dans sa peau, étant donné, qu'ils tombaient sur un os ! Et oui, je ne vous apprends rien, cette zone qui se trouve en haut du bras, est particulièrement osseuse, histoire que l'on ne perde pas un membre trop facilement. Alors, que j'allais déplacer mon bras autre part sur son corps, afin de lui blesser tout ce dernier. La jeune femme se servit de la courte distance qui nous séparait pour m'attaquer. Comme elle à l'instant, c'était beaucoup trop proche et je nus esquiver.

Après avoir prononcé quelques mots, la jeune femme sortit en l'air et me donnât une ribambelle de coups de pieds, tous plus puissants les uns que les autres. Au bout de 4 ou 5 qui m’arrivèrent sur le torse, j'entendis un soudain « crac », visiblement l'une de mes côtes n'avaient pas réussi à résister. Étant donné, que je risquais ma vie, vu que beaucoup d'organes vitaux se trouvaient sous ces os, mon logia décidait enfin à s'activer et en transformant toute cette partie du corps en soie liquide, grâce à ça, je réussissais à sortir vivant de ce choc. Néanmoins, je ne pus m'empêcher de tomber par terre, en plus, je basculais vers l'avant, donc mon torse fut le premier à toucher le sol ! Et je vous jure que quand vous avez des côtes autant abîmées, ça ne vous fait pas du bien ! Oh que non ! Pendant que je m'apitoyais sur mon pauvre sort, je pouvais voir que la jeune femme détachait finalement ma main de soie, qu'était restée attachée à elle, mais bon, elle ne le fit pas sans douleur, étant donné que cela agrandissant un peu la blessure. Pendant que cette dernières revenait à moi, mon corps se reconstituait peu à peu. Je sentais aussi quelques fils de soie, se baladaient dans mon corps, afin de remettre certains de mes os en place, pour qu’il ne transperce pas un poumon ou un cœur. Bien entendu, cela se fit avec beaucoup de douleur, car déplacer un os déjà cassé n'e fait jamais du bien ! De plus, vu que c'était fait un peu à la rache, ce rafistolage ne durerait que quelques heures au mieux.. En tournant la tête, je pus voir que le trophée du combat était bien amochée ! Et oui, avec toutes ces explosions, le pauvre pirate, n'était que de la bouillie ! Son corps avaient été brûlé un peu partout et il lui manquait maintenant un bout de tête, ainsi qu'un bras et les deux jambes. Pendant que je me relevais peu à peu, j'entendais la jeune femme ricanait comme une folle. Puis quand elle eut fini de glousser, elle répondit à une question, que je lui avais posé, il y a cela quelques instants, cette dernières étaient quel était son nom :

"Mon nom est Phoebe Halliwell, commandant dans la marine !"

Alors, comme ça, elle était dans la Marine. Plus rien ne m'étonnait ces jours ! Surtout de leurs parts ! Ces personnes qui n'avaient pas protégé mon île ! Visiblement, il ne fallait pas leur proposer un contrat, maintenant, je savais, que travailler pour eux comme de pauvres larves, c'était bon, par contre, coopérer avec eux, ce n'était pas possible ! M'avouant battu, je décidais de me retirer de là. Néanmoins, étant un véritable vautour humain, je décidais de lancer une petite attaque ! Mais avant, je comptais bien dire au revoir à celle qui m'avait battu :

A la revoyure Miss Halliwel. Et tiens un petit cadeau, mais attention de ne pas être aveugle en le voyant !

Après avoir dit ces quelques mots à son égard. Un simple filet de soie était envoyé sur elle, via mon visage, afin de lui obstruer la vie pendant quelques seconde ! Puis, pendant qu'elle ne voyait plus rien, je lui lançais une machette, en pleine gueule, afin d'essayer de la scalper. Néanmoins, certes, elle était blessée, mais ces réflexes étaient encore là. Alors pour l'éviter, elle s'abaissât juste, ainsi l'arme lui passât à quelques centimètres de sa tête, lui coupant quelques mèches rebelles au passage. Néanmoins, si elle avait un œil de combattant. Elle comprendrait bien vite, que je n'avais pas fait pour la blesser, car vu la force avec laquelle, je l'avais jeté, au pire, elle pouvait juste avoir une petite coupure, ou un œil crevé, si jamais l'un d'eux se retrouvait sur son chemin. Mais, en effet, je lui avais bien envoyé cette machette, comme signe que sûrement une prochaine fois, on pourrait se re-combattre et que ce jour-là, elle pourra me rendre l'arme que l'arme que je lui avais jetée dessus. Ce geste-là m'avait aussi permis de m'évader ! Ainsi je courrais un peu partout dans les alentours, afin d'essayer de la semer. N'étant pas bien sûr de mon coup, je regardais à chaque intervalle de dix secondes, si elle ne me suivait pas. Après être passé devant un épicier, j'eus une petite idée, c'était de me camoufler, ainsi je reprenais ma forme liquide de logia et me glissais entre les différentes pomme du marchand, pour aller au fond du sac qui les transportait. Une fois dans ce dernier, je pouvais enfin penser à cela :

Vu que j'allais sûrement recroiser la route de cette Phobe.