L’homme qui cherchait des noises, s’est retrouvé la noix coincée dans un casse-noisette humain !

Toujours dans ma barque, qui me sevait depuis un bon bout de temps. J’arrivais sur une île, qui faisait envier tous les pirates de la planète. Bien entendu, vu que je ne suis pas sur Grand Line. Je parle bien évidemment de Logue Town, la célèbre île, qui avait vu naître et disparaître l’un des hommes les plus connus au Monde, Gol D. Roger ! La précédent roi des pirates ! Un homme, qui même mort ! J’enviais ! Et oui, à peu de Monde, je voue autant d’admiration. Car après, tout, il y en a pas 50 000 sur cette planète, qui ont su traverser la totalité de la route de tous les périls, pour arriver sur Rough Tell ! D’ailleurs, selon les dernières dires de ce moustachu. Il avait même enterré son précieux trésor là-bas ! À cause de quelques mots ! Il avait su créer une gigantesque vague de piraterie, dont moi, je faisais partie. En plus de ça, comme vous commencez à le savoir, chers lecteurs. Quand on prononce trésor à mon oreille ! Je me réveille ! Vu que je suis un gros radin ! Et les vieux coffres en bois, remplis d’or et de bijoux, cela m’intéresse fortement et pas qu’un peu ! Après quelques coups de pagaies, j’étais arrivé au port. D’un gigantesque bon, j’arrivais sur les quais. Néanmoins, pour une fois, je ne devais pas m’attarder ici ! Et non, je n’allais rien voler aux pauvres pêcheurs. J’étais venu ici pour une seule chose ! Contemplé l’endroit, où le seigneur des mers avait été tué. Alors d’un pas rapide, je me dépêchais là-bas. Même s’il fallait grimper pour aller là-bas, cela ne me ralentissait loin de là ! Après quelques minutes de marche. J’étais arrivé devant ce monument, fait d’acier et de bois ! Tout en le contemplant, avec un rire sauvage, je m’exclamais en disant cela :

Putain, ça me ferait un beau trône !

Vu que ce long voyage m’avait réveillé le systéme digestif et les papilles gustatives. Il fallait que je me trouve un bon petit restaurant. En tournant ma tête, d’abord une fois à droite, puis une fois à gauche. Je trouvais une bonne échoppe ! En plus, la spécialité de ce magasin, était la viande ! Et vu que moi, je suis un putain de viandard ! Vu que seul, ces aliments arrivent à me redonner tant d’énergie. Je m’y précipitais ! Après avoir ouvert la porte, je venais de pénétrer dans cette taverne. Comme à chaque fois. Des dizaines et des dizaines de regards se tournaient vers moi. Visiblement, peu d’entre eux, avait déjà croisé un homme, qui dépassait les 10 pieds de haut. En plus d’être très grand, je portais un curieux masque sur ma gueule. Alors, on pouvait dire que je faisais de la rude concurrence au parc d’attraction de l’île, en termes de bizarreries et de curiosité. Néanmoins, cela n’était peu que face au monument, devant lequel j’étais passé tout à l’heure. Le gigantesque échafaud où Roger avait passé ses dernières secondes. Alors que je m’apprêtais à m’asseoir à un comptoir, afin d’y commander d’un gros poulet entier, accompagné de frites, de ketchup et de bière. Un homme vint à m’accoster. Il était relativement vieux, son âge était plus proche de la cinquantaine que de la trentaine. Tout comme le héros de cette île, il portait une moustache … Enfin, pour lui, c’était une vraie barbe, vu comment elle était longue et mal rasée. En plus d’avoir cette preuve de son âge avancé. L’homme n’était pas très gros, soit mon opposé et en plus ses veines ressortaient. Et malheureusement pour lui, il voulait s’attirer les foudres ! Étant bourré, l’homme titubé, il pouvait tomber à terre d’un moment à un autre, comme s’il s’était retrouvé en face de moi, dans un ring. Pendant que l’alcool lui montait de plus en plus à la tête. Il posât son index droit sur ma ceinture de champion de boxe et me disait cela :

Et tu sais ! Pour être champion, il ne faut pas avoir que des muscles ! Mais le cerveau doit être sacrément grand ! Et malheureusement pour toi, à mon avis, ce n’est pas le cas ! Donc tu l’as volé !

Ses paroles étaient à la fois vraies et fausses ! Pour la première partie. Je n’osais le contredire ! Et oui, même si dans la plupart des cas, on pense que les boxeurs ne sont que des grosses brutes ! En réalité, ce sont des personnes très intelligentes, qui sont souvent diplômés. Etant donné qu’il faut un minimum de matière grise pour savoir où frapper, afin que cela fasse un minimum mal !  Néanmoins, l’alcool lui faisait perdre la raison aussi ! La ceinture, elle était bien à moi, je ne l’avais pas volée ! Et oui ! J’avais bel et bien fait mes preuves sur l’île boxeuse, jusqu’à en soulever l’or de l’art martial maître de l’île, allant même à rivaliser avec les dangereux kangourous de l’île. Comme, je n’aimais pas qu’on me traite de voleur, même si dans la plupart des cas, c’était vrai ! Je m’avançais vers lui, lui prenais son bras, puis avec ma main, je me saisissais du doigt qui m’avait effleuré et dessinait avec un bon angle avec le dos de sa main. Cela devait faire effroyablement mal ! En plus, si je forçais un peu plus, l’homme risquait de perdre l’utilisais de cette partie de son corps. Alors qu’il essayait de s’enlever de son étreinte, je m’avançais vers lui et lui disais doucement, cela à l’oreille :

Tu sais mec ! Je ne suis pas venu ici pour m’attirer des problèmes ! Je suis seulement venu ici pour dire à tout le monde ! Que je ne montrai jamais cet échafaud pour y mourir, puisque personne ne pourra m’arrêter dans la quête de devenir le plus fort ! La seule fois où je montrais sur cette immense chose, ce serait pour pisser sur la gueule de loosers comme toi ! Capiche ?!?

Alors que je desserrais ma main sur son pauvre petit doigt. L’homme s’en allait. Néanmoins, je n’avais pas entendu, le fameux mot magique, vous savez le pardon ! N’aimant pas qu’on me manque de respect ! Je retenais le papy bourré par l’épaule et lui redisais cela :

Désolé, mais je n’aime pas qu’on me manque de respect ! Mais soit, tu t’excuses ou soit tu vas bouffer le bois qui constitue ce bar-là !

Hein de quoi ? Jamais, je ne m’excuserai ! Surtout pas devant des hommes aussi cons que toi. Me répondait l’homme, tout en oscillant de la droite vers la gauche.

Vu que je n’aimais pas sa réponse. Je rapprochais ma main droite de sa tête, jusqu’à me saisir de ses cheveux. Puis après un petit mouvement de l’avant vers l’arrière. Avec force et sans volupté, j’encastrais sa pauvre tête de clauchard dans le meuble de la boutique. Une fois que j’eus fini de faire cela et pendant que je m’essuyais les mains, du sang qu’il y avait dessus, je criais haut et fort cela :

Putain ! Ce n’est pas possible ça ! Maintenant, on ne peut plus faire deux pas dans ce Monde, sans qu’un type nous traite de menteur ou de voleur, bordel de merde ! Et si jamais, il y a un autre qui me fait chier, c’est la même correction ! Que vous soyez mercenaires, chasseurs de prime, marine ou même pirate !

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Déjà, pour faire un vœu de chasteté, il faut être con ! Mais alors, ce prêtre-là, c’est le roi des débiles ou quoi ?

Je venais de détruire le crâne de quelqu’un avec pour seule arme ma force. Bien entendu, le comptoir du bar m’avait bien servi, néanmoins, ce n’était pas une arme, seulement un élément du terrain. Le sang de ce pauvre type, salissait maintenant l’établissement, quelques gouttes et éclats de crânes, allèrent soit sur le sol, dans les assiettes ou sur mes superbes rangers. Elément que je portais sur moi, dont j’étais si fier. D’ailleurs, je sentais qu’à cause de cette hémoglobine, j’allais encore plus choisir mes magnifiques chaussures, vu qu’un tas de choses allaient s’accrocher à ces dernières et les enlever, serait une tâche bien difficile. Comme à mon habitude de gros radin. Je volais quelque chose pour me désaltérer. C’était une pinte de bière, qui était positionné sur le comptoir. Bien entendu, vu que je n’aime guère cet alcool, quand il est brun. Je l’avais pris blond. En plus, de la mousse qui était très onctueuse, le liquide qui était en-dessous, n’était guère amer. En gros, on pouvait dire que c’était l’une des meilleures bières au Monde. Heureusement pour le propriétaire de la taverne, il ne l’avait pas mélangée avec de l’eau, sinon, lui aussi, il aurait pu se retrouver par train en train de pisser le sang. Alors que je dégustais ce doux breuvage. Un homme m’interpelât. A son costume, je pouvais en déduire qu’il était prêtre. Vu qu’il portait un long habit noir et une croix au cou. L’homme me disait cette phrase, qui me fit un peu rire sur le coup :

Hey toi la bas!T'as pas  l’impression d'avoir une un peu trop grande gueule!!

Après avoir ri à plusieurs reprises. Je le regardais d’un air, qui voulait dire « Mais t’es sérieux ? ». Je décidais de lui répondre, mais pas maintenant. J’attendais de finir ma boisson avant, puisque j’avais une soif de dromadaire. Comme l’animal, je m’étais privé d’eau ces derniers temps. Enfin, certes, ce n’était pas pendant des moins, mais pendant une journée et une nuit ! Et croyez-moi, quand vous êtes sur une toute petite barque, sans ombre, au soleil et arroisé par l’embrun marin. Cela vous asséche la peau et vous donne soif. Vu que l’esprit voit beaucoup d’eau, or il ne peut pas en boire, étant donné qu’il sait que si jamais, il fait ça, il peut mourir. Vu que le sel  n’est guère bon pour les reins. Après cette petite pause sur la biologie humaine. Revenons à nos moutons ! Je me retournais vers l’homme d’église et avec ma voix grave, je lui disais cela :

Putain ! Mais t’es un petit marrant toi ! Et oui ! Quand on fait trois mètres de haut, ce n’est pas facile d’avoir une petite gueule ! Vu qu’on attire tout sur nous, que ce soit les moqueries ou autre chose ! Je ne savais pas que les prêtres avait un sens de l’humour aussi développé ! Sinon, t’es le cousin de Shorleck Helmos pour faire une remarque comme celle-ci et tant m’énerver, puisque j’associe cela un peu, à du foutage de gueule ! N’ai-je pas raison ? On t’a pas appris à être poli avec plus fort que toi dans ton cloître ?

Enervé par ces propos, que je prenais pour une insulte ! Jamais dans ma vie, un curée s’était moqué de moi ! Et cela allait être sûrement le dernier, vu comment j’allais détruire celui-ci ! Après avoir parlé, je posais mon verre, là où je l'avais pris, puis marchais maintenant en direction de mon nouvel ennemi. Pour ma première offensive, je comptais me servir encore une fois du mobilier. Une fois que je fus assez proche d’un tabouret. Tel un footballeur professionnel, je courbais mon corps en avant, tout en mettant ma jambe, bien en arrière ! Puis, je me penchais vers l’arrière, accompagnant ainsi mon membre inférieur vers l’avant. Cela avait pour but de foutre un gros shoot dans l’objet de bois et d’acier ! Afin que ce stupide prêtre se le reçoive en pleine gueule ! Et qu’il sente la puissance de mes jambes à distance ! (c) fiche par ocean lounge

Giorgio à la plage !

Visiblement … On pouvait dire que je venais de me prendre un gros vent ! Et oui, l’idiot qui était devant moi ! N’avait rien écouté de ce que je venais de dire ! Voulait-il encore plus m’énerver ? Car si cela était son but ! Il avait visé dans le mille ! Énervé par son attitude et par ses propos ! Je laissais ma rage, s’envahir de mon corps ! Avec ce sentiment, qui circulait dans tout mon corps. Je courrais vers le prêtre. En regardant à droite, puis à gauche, je pus voir un objet, qui pouvait me servir ! C’était un tabouret, fait de bois et de métal. Voulant me servir de mon inertie. Je décidais de ne pas l’attraper avec mes mains pour le balancer. Mais bien de me servir de mes jambes dans cette tâche-là ! D’un puissant shoot dans les pieds de l’objet ! Ce dernier s’envolait et fonçait droit sur la gueule de mon adversaire, pour lui refaire le portrait ! Alors que le projectile s’approchait de plus en plus du moine. Ce dernier ne l’évitait pas, c’est comme s’il s’en foutait complétement ! Avait-il une technique pour dévier les choses ou rendre son corps aussi dur que le roc ? La réponse était non ! Tout simplement, la petite chaise lui passât en travers de visage ! Ce dernier s’était dispersé dans l’air, sous forme de poussière ou de sable ! Alors que le tabouret s’explosait contre le mur et faisait tomber un cadre par terre. La tête du jeune homme, se reformait peu à peu. Visiblement, l’homme avait mangé un fruit du démon. Selon les rumeurs que j’avais entendu. Ces derniers octroyaient de grands pouvoirs à ceux qui l’avalaient. Néanmoins, ces derniers devenaient maudits des mers, puisqu’ils ne pouvaient plus nager ! Et dans un Monde où l’eau est largement plus présente que la terre, c’est relativement con.

Une fois qu’il eut tout remis en place sur son visage, que ce soit son nez, ses yeux ou bien sa mouche. Il commençait à se présenter, disant son nom, qui était Helyo Brownstone, puis son grade dans la marine. Une fois qu’il eut fini de prononcer ces quelques mots. L’homme passât à l’attaque. Autour de sa main gauche. Il rassemblait une bonne quantité de sable. A ce que je pouvais constater, l’homme avait bel et bien mangé un fruit du démon. En plus, c’était un de types logias, soit il pouvait créer et devenir du sable ! En gros, ce type était plus que chiant. Après avoir créé suffisamment de cette matière poussiéreuse. Il lançât sur moi, comme s’il créait une mini-tempête de sable. Ne voyant aucune dangerosité dans son attaque, à part me faire projeter. Et encore 200 kilos ! Ce n’est pas facile à faire que ça s’envole. Comme système de défense. Je recopiais les sumos. En me mettant sur mes appuis, puis en soulevant mes deux jambes, afin de coincer mes pieds dans le sol. Vu qu’avec un peu de force, je pouvais aisément faire des trous dans ce parquet de bois. Afin, que je ne me fasse pas aveugler ! Je me protégeais les yeux, en mettant un bras devant ces derniers. Ainsi, je me prenais cette offensive-là, tout en restant sur place. La seule crainte que j’eus ce moment-là ! C’est que vu, que je ne voyais rien ! L’homme pouvait aisément m’avoir en traître, or il ne fit rien. Visiblement, ce n’était pas un salop jusqu’à la moelle ! Quand la tempête fut fini, j’enlevais mes deux pieds des trous, que j’avais fait. Vu que j’avais quelque peu reculé. Mes deux mollets avaient été blessés et transportaient maintenant des échardes. Mais bon ! Ce n’était pas cela, qui allait me faire reculer devant un ennemi. Après m’être enlevé tout le sable, qui était sur mon corps, en m’agitant dans tous les sens, comme le ferait un chien. Je décidais de prendre la parole, afin de rabaisser cet enculé de Marine :

Chez moi ! Les mecs comme toi, qui insultent les gens et qui n’osent même pas prendre un seul coup ! On les appelle les p’tites pucelles ! Et crois-moi, ce surnom a l’air de bien t’aller ! Ah oui et au passage, mon nom c’est Giorgio Puncho ! Connard !

Ne voulant pas trop perdre du temps dans ce bar. Je voulais en finir rapidement. Ainsi je choisissais d’exécuter une attaque, pouvant mettre K.O beaucoup d’hommes ! Elle avait pour nom le Comotional Elbow ! En gros, après avoir respiré de multiples reprises, afin de reprendre un maximum de forces. Je fonçais dorénavant vers mon ennemi. Et une fois, que je fus assez proche de lui. Je pivotais le haut de mon corps, tout en pliant mon bras, afin de foutre un bon coup de coude dans la tempe du marine ! J’espérais que pour une fois, il n’allait pas encore faire sa petite pucelle, afin qu’il puisse gouter à la force de mes coups !

Techniques utilisées:

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Moi, je ne flambe pas des crêpes, mais bien des hommes, trop fiers d'eux !

Toujours dans ce bar. J'étais en plein combat contre ce marine ! En face de lui ! Tel un taureau, qui avait vu courir devant lui, un homme vêtu de rouge. Avec la même hargne que l'animal ! Je fonçais sur l'homme. À l'aide de grands et rapides pas, j'arrivais à me rapprocher de lui, assez rapidement. Et quand je pivotais mon corps sur le côté, afin de lui donner le coup de grâce, qui était mon fidèle et puissant ami, le Comotional Elbow ! Encore une fois, Helyo, tel était le nom de ma cible, ne fit rien ! Il se contentait d'esquiver avec les pouvoirs de son fruit du démon. Dispersant ainsi sa tête, sous forme de sable. Pendant que je reculais ! L'homme me disait que je n'étais pas assez fort pour le toucher ! Cela me fit assez rire, car c'était bel et bien une petite pucelle, qui me disait cela ! Malheureusement pour lui, ces paroles ne me touchaient pas ! Je n'ai rien à foutre d'un homme, qui n'ose pas se prendre les coups ! Pour moi, ces types-là ne sont que des ratés ! Peut-être qu'il avait dit cette phrase pour me déconcentre en me faisant rire. Mais quand il chargeât sur moi, tout en formant une redoutable lame de sable. Je repris mon calme et mes esprits. Afin de trouver une technique pour éviter la sienne. Après quelques dixièmes de réflexion. Je décidais d'utiliser une attaque. Alors qu'il s'avançait de plus en plus de moi. Je fis le vide en moi et mis mon bras en bonne position, soit un peu replié vers moi. Et une fois, que le soldat fut assez proche de moi. Je dégainais mon poing ! Tel une balle de fusil ! Mon poing fusait vers lui. Il allait assez vite, vu qu'en le lançant, j'avais déboîte mon coude, afin de gagner en vitesse. Cette technique-là, je l'avais surnommé le Rapido-Puncho ! Du fait qu'il est plus rapide qu'une de mes attaques normales. Afin, que je ne me fasse pas couper par son arme de sable. Je visais son poignet et comme je m'y attendais. Lorsque le choc arrivât, son bras se décomposait. Laissant ainsi la lame partir en l'air. Sur son chemin, elle rencontrât un bon de mon épaule, me blessant ainsi  légèrement, avant de se planter dans le plafond. Comme à mon habitude, comme je n'aimais pas trop qu'il y ait trop peu de distance entre mon adversaire et moi. Je reculais. Me rabattant ainsi derrière le bar. Et quand je regardais autour de moi, une idée sauvage m'apparût. Certes, ce n'était guère propre, mais en tout cas, ça risquait de marcher. D'un air, quelque peu sadique, je regardais mon ennemi et lui disais cela :

Hé ! Petite pucelle ! Sais-tu pourquoi j'ai ri tout à l'heure ? Tout simplement, car tu dis que je n'arrive pas à te toucher ! En effet, c'est simple de dire ça, quand on a mangé un fruit de type logia ! De plus, même si t'as des immenses pouvoirs, tu n'arrives même pas à me blesser ! Alors c'est qui le faible ? Ah oui et sais-tu, comment est fabriqué le verre ? C'est en chauffant le sable, donc dans quelques instants, tu risques d'avoir vraiment très chaud.

Après avoir dit ce long monologue, je fis quelques pas sur le côté. Afin de me rapprocher d'un objet que je convoitais. C'était un simple bidon, content un liquide à haut degrés d'alcool. Le barman, qui tenait cette échoppe, devait sûrement s'en servir pour remplir d'autres bouteilles plus petites, vu qu'il y avait, étant donné qu'un tuyau était accroché à ce petit fut. J'arrivais à coincer ce petit bidon, entre mon avant-bras et mon épaule. Quant au tuyau, je le tenais dans ma main gauche. La droite était allée chercher un briquet qui se trouvait dans ma poche. Avant de faire feu, je regardais encore une fois l'homme et lui disais cela, comme si c'était un au revoir :

Hey ! Comme on dit chez moi et partout dans le Monde ! Hasta la vista ! Hijo de P**a !

Après cette petite phrase, riche en insulte. J'appuyais sur la gâchette du tuyau! Afin d'essayer de bien arroser mon adversaire avec le jet d'alcool, qui ne devrait pas se laisser faire. Puis j'allumais mon briquet et là, un magnifique jet de flamme sortait de mes mains ! Même si je n'aimais guère les pyromanes, en incarner un était cool ! Avec la fumée, qui se dégageait, je ne pouvais voir si je l'avais touché, que ce soit avec l'alcool ou les flammes ! En tout cas, heureusement, que des ouvertures étaient dans la salle, sinon, on s’asphyxierait bien ici ! Et ça, ça serait une mort drôlement conne pour un homme si grand que moi !

Techniques utilisées (même si ce n'est que pour la défense ici):

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Le Marine qui avait trop ingurgité de chiantos !

Voili Voilou ! Je venais de parler ! Le marine eut pour réponse de rigoler, puis il me disait une phrase, qui m'énervait encore plus ! Il disait de ne pas jouer aux intellos, car je n'en étais pas un ! Visiblement, lui était comme le type de tout à l'heure ! Il pensait que tout homme, riche en muscle, était plus con la moyenne ! Or, qui est le plus stupide ! Entre un mec qui se la pète, en évitant les coups ! Ou un autre, qui essaye de trouver une solution à un problème ? Franchement, plus le temps passait et plus, cet homme avait tendance à m'énerver et à me saouler. Et moi, quand je suis, énervé, il faut pas me chercher ! Avec ce sentiment de haine à son égart. Après quelques secondes de bricolage. Je construisais facilement un lance-flamme rafistolé. Vu que je n'en pouvais plus de ses répliques ! Je fis feu (Ouh la la ! Quel jeu de mot !  Comment que je suis trop fort ! Ahou !) ! Le jet de flamme qui sortait de mon arme, était relativement large et long, ce qui laissait à mon ennemi peu d'échappatoire ! Et comme à son habitude, il était sûr de lui. Il n'osait même pas esquiver mon attaque et se la prenait en pleine gueule. Malheureusement pour moi. Il ne finit pas en brochette humaine ! Et non ! Il était toujours en vie ! À l'aide de ses foutus pouvoirs. Il créât deux vents de sable, afin de balancer deux tables sur ma gueule. Le seul danger qu'elles avaient, hors leur vitesse, c'était qu'elles étaient en feu. N'étant pas suicidaire et n'était pas doté de pouvoir, qui faisait de moi une tafiole ! Je décidais d'esquivais ce mobilier volant. À l'aide d'une roulade sur le côté, j'évitais les deux tables et ces dernières s'écrasèrent, à la fois contre les étagères, qui comportaient une multitude de bouteilles, ainsi que contre le comptoir. A cause dela, la canalisation avait été pétée et de l'eau s'échappait su moi. Cela eut pour conséquence de me tremper entièrement. Dans ce brasier, c'était une bonne chose ! En plus, vu que je portais mon masque sur moi. Je ne craignais pas l'asphyxie. Puisqu'il avait la bonne chose de trier l'air ! Vu, que j'étais de plus en plus énervé à l’égare de mon jeune et petit adversaire. Je décidais de désactiver mon masque, soit en appuyant sur quelques boutons, qui étaient dessus. Ainsi, il ne me distribuait plus de tranquillisants ! Et la drogue du Berzeker, qu'il y avait dans mon sang, faisait maintenant effet ! Augmentant ainsi, ma masse musculaire, mon rythe vasculaire et respiratoire ! Maintenant, ma force avait doublé et mon esprit n'était maintenant plus mien. Alors, que je venais de faire ça et que mon esprit était de plus en plus fou. Helyo fonçait maintenant sur moi. En utilisant les pouvoirs de son fruit du démon, il augmentait grandement sa vitesse. Content qu'il vienne vers moi, je m'exclamais de joie et lui disais cela :

OH OUI ! VIENS VERS MOI POUR QUE JE TE DEMOLISSE ! PAUVRE MOUCHERON !

Pendant que je criais ces quelques mots ! Je m'étais rapproché du sol, en pliant mes genoux. Afin de pouvoir bien l'accueillir, en lui donnant un bon coup. Néanmoins, la première que je fis dans cette position, fut d’esquiver son attaque. Malheureusement pour lui, son offensive, était beaucoup trop facile à lire, car même si elle avait de la vitesse. La lame de sable, qu'il avait reformé, ne dessinait qu'un simple demi-cercle horizontale. Et il fallait alors, que je me baisse encore plus. Une fois, que j'eus fini de faire ça. Je me servais du peu de distance (seulement quelques décimètres, vu qu'on est au corps-à-corps) qu'il y avait entre nous deux pour lancer une contre-attaque en bondissant sur mon adversaire, les deux bras en avant. Je me doutais bien qu'il allait encore esquiver mon attaque en se dispersant dans la pièce, mais bon qui ne tente rien, n'a rien ! Or, la chose, que je ne savais pas, c'est que l'eau annulait tout ses pouvoirs. Et à cause de la fuite de tout à l'heure, mon corps en était totalement recouvert.

Techniques utilisées:

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Ce mec m’a tellement saoulé, que moi je me casse !

Voilà, je venais d’éviter l’attaque de mon ennemi. Cette dernière était passée juste au-dessus de ma tête. Vu que j’étais chauve, l’attaque ne me coupât même pas un cheveux. Maintenant, j’allais lui montrer qu’elle était ma vraie force ! En m’agenouillant. Je m’étais mis dans une bonne position ! Puis, à l’aide de mes jambes. Je me propulsais vers mon adversaire. Le choc fut relativement puissant. Cela arrivât à le repousser sur une quelques mètres. Néanmoins, l’homme fit encore la tapette ! En se dispersant sous forme de sable, il évitait ainsi le mur qui se trouvait derrière lui. Comment avais-je réussi à le toucher ? Je ne le savais pas, mais en regardant mes bras. Je compris. Des gouttes tombaient de mes deux membres. Visiblement, une fois que l’on trempe le sable ! Il devient relativement dur et là on peut le tabasser, sous qu’il ne se disperse. Après qu’il reprit sa forme humaine. Le marine posât l’une de ses mains au sol et aspirât toute eau, qui se trouvait dans un périmètre. Que ce soit sur moi, ou dans le sol. Visiblement, j’avais eu raison ! Il ne voulait pas que je réutilise cet élément à mon avantage ! Néanmoins, il fit aussi une erreur. Puisque seulement l’eau, qui était présent à l’instant dans la canalisation, avait été aspirée ! Et non celle, qui arrivait ! Et oui, c’est ce que l’on appelle l’eau courante ! Tant qu’on ne coupe pas le robinet de l’arrivée d’eau. On ne peut arrêter celle qui circule dans les canalisations. Et cette arrivée d’eau devait sûrement se trouver en-dehors du bar (Juste comme ça, je connais ça, puisque j’ai fait une année de BTS dans la maitrise de l’eau) ! Une fois, qu’il eut fini d’utiliser sa technique ! Il en profitait pour m’insulter ! Disant que je l’avais mis un peu trop en rage ! Et que j’allais sûrement le payer. Puis il finissait sa phrase par une insulte, qui fut à mes oreilles relativement nulle, puisque c’était bleu-bite. En fait, je le compris, pourquoi ces deux mots n'allaient pas ensemble! Puisque lui n’avait pas de couille ! Il ne savait créer des insultes liées à cette partie du corps. Trouvant ça marrant. Je rigolais et lui répondais d’une manière bestiale, puisque j’étais en forme de berzeker :

Oh Oh Oh ! Grosse Marrade ! Toi me traiter de bite ! Mais toi ne pas avoir de ça !

Avec le sable qu’il avait à ses pieds. A l’aide de ses pouvoirs. Il le dispersât, sous forme de trois trais, qui représentaient des serpents ! Ces derniers ne faisaient pas de simples lignes droites ! Et oui ! Un seul osait se dresser devant moi, quant aux deux autres, ils se contentaient de me contourner. A cause de ça, j’eus du mal à les éviter. La seule chose que je pouvais faire, était une esquive plutôt conne, je me contentais de sauter ! Ainsi les reptiles de sables ne me mordaient pas et se contentaient de se rentrer dedans. Néanmoins, je fis tout de même pas épargner. Puisqu’un avant de mourir, me balançât ses crocs dessus. Une fois, que je fus de retour sur le plancher des vaches. Je reculais, jusqu’à aller dans un nuage, qui regroupait fumée, sable et poussière. Une fois ici, l’homme ne pouvait plus me voir. Au lieu de m’attaquer. Je me contenais de réactiver mon masque. Ainsi, cela me redistribuait des tranquillisants et je redevenais calme ! Puis, je courrais vers une fenêtre. Et d’une bombe, je passais à travers cette dernière. Certes de petits éclats m’avaient coupé, mais bon, rien de grave ! Fuyais-je ? La réponse est oui ! Pourquoi ? Suis une p’tite pucelle comme mon adversaire ? Ouh que non ! L’homme m’avait tellement saoulé, avec ses phrases et ses esquives de merde que je décidais de me casser de là ! Car après tout, les femmes aiment ceux qui se prennent les coups et non, ceux qui évitent toute attaque ! Et oui, elles aiment, ceux qui se montrent résistants et non, ceux qui se vantent de l’être, sans pouvoir montrer cela ! A ce moment-là, je n’avais qu’une seule phrase en tête et c'était celle-là : « Quand on frappe de la merde, on s’éclabousse et on a tendance à devenir comme elle ! ». Voilà, tout était dit ! Ne voulant pas devenir comme ce foutu prêtre. Je me barrais à pied, allant trouver un autre bar plus cool avec des mecs moins chiants !


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